Coupe du monde 2023 - Matias Moroni (Argentine) : "Nous voulons nous venger après le dernier Mondial"

  • Matias Moroni, le centre de l'Argentine, montre les crics à six mois de la Coupe du monde.
    Matias Moroni, le centre de l'Argentine, montre les crics à six mois de la Coupe du monde. Abaca / Icon Sport - Abaca / Icon Sport
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À six mois de la Coupe du monde, Matias Moroni s'est longuement confié sur les ambitions de l'Argentine au prochain Mondial. Éliminés dès la phase de poules en 2019, les Pumas veulent "prendre leur revanche".

Matias Moroni a déjà faim. Le centre argentin (31 ans ; 68 sélections) s'est longuement confié dans RugbyPass pour évoquer la prochaine Coupe du monde en France (8 septembre - 28 octobre). L'un des cadres des Pumas veut remettre l'Argentine à la place qui est la sienne dans le rugby mondial après une édition 2019 ratée, où les hommes de Mario Ledesma étaient sortis de la compétition dès la phase de poules. Matias Moroni commence déjà à préparer le match d'ouverture des Pumas, face à l'Angleterre le 9 septembre prochain.

Le calendrier complet de la Coupe du monde 2023

"La dernière Coupe du monde n'a pas été heureuse pour nous... nous voulons maintenant nous venger. On veut mettre le maillot de l'Argentine au plus haut possible. On regarde l'Angleterre dans le Tournoi des 6 Nations et je joue contre eux tous les week-ends, donc ça va être un très beau match à jouer". Arrivé à Leicester en 2020, le centre argentin joue aujourd'hui à Newcastle et n'a inscrit qu'un seul essai depuis le début de la saison.

Michael Cheika veut insuffler un nouvel élan à l'Argentine.
Michael Cheika veut insuffler un nouvel élan à l'Argentine. PA Images / Icon Sport - PA Images / Icon Sport

L'impact de Michael Cheika

Après la démission de Mario Ledesma en février 2022, Michael Cheika a pris les rênes de l'Argentine avec un bilan à l'équilibre sur l'année civile (cinq victoires et cinq défaites). Matias Moroni veut croire en son nouveau sélectionneur où la différence se note sur le plan mental. "Tous les entraîneurs nous ont rendu bons mais si je devais dire une chose à propos de Michael, c'est la mentalité. Il nous montre la voie et que nous devons faire suffisamment confiance à notre système, à notre culture, à notre pays, à toutes les choses que nous avons en Argentine et que d'autres pays n'ont pas. C'est la chose la plus importante".

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