"Un sentiment de honte pour l'ensemble du club" - Le Top des déclas

  • Nicolas Morlaes (Bayonne)
    Nicolas Morlaes (Bayonne)
  • Eric Escande (Toulon)
    Eric Escande (Toulon)
  • Fabien Pelous (directeur sportif de Toulouse)
    Fabien Pelous (directeur sportif de Toulouse)
  • Gonzalo Quesada (Stade français) - 10 décembre 2016
    Gonzalo Quesada (Stade français) - 10 décembre 2016
  • Bernard Jackman (Grenoble)
    Bernard Jackman (Grenoble)
Publié le Mis à jour
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TOP 14 - La honte de Nicolas Morlaes, la joie mesurée d'Eric Escande et Vincent Rattez mais aussi l'espoir de Fabien Pelous. Les phrases choc de la 20e journée.

Éric Escande (demi de mêlée de Toulon)

Pas question de s'enflammer chez les Varois malgré le véritable festival offensif (82-14) face à Bayonne.

C'est compliqué d'assurer que c'est un déclic ce soir, ça reste anecdotique si derrière on est ridicules à Grenoble.
Eric Escande (Toulon)
Eric Escande (Toulon)

Nicolas Morlaes (directeur sportif de Bayonne)

Après les 12 essais encaissés par son équipe, forcément, Nicolas Morlaes avait du mal à cacher sa honte.

Après ce match, c'est un sentiment de honte pour l'ensemble du club, pour nos supporters, nos partenaires... Des joueurs de rugby professionnels ont des droits, mais quand même des devoirs, on n'est pas toujours bon au rugby, mais quand on rentre sur un terrain on se doit de mettre l'engagement requis minimum.

Fabien Pelous (directeur sportif de Toulouse)

Malgré une 10e place au classement, les Haut-Garonnais y croient encore.

La qualification ? Mathématiquement c'est possible. On est au pied du mur.
Fabien Pelous (directeur sportif de Toulouse)
Fabien Pelous (directeur sportif de Toulouse)

Pierre Mignoni (entraîneur de Lyon)

Menés au score durant une grande partie du match, les Lyonnais ont passé un 18-0 aux Parisiens pour l'emporter dans ce choc des mal-classés (35-33).

J'ai eu la chance de vivre beaucoup de matches, de jouer beaucoup de finales mais ce match a provoqué beaucoup d'émotions en moi. Je ne sais pas si je vais faire longtemps ce métier (sourire).

Gonzalo Quesada (directeur sportif du Stade français)

Longtemps, les Parisiens ont cru pouvoir l'emporter. Finalement, ils ont échoué à deux points et sont désormais juste devant la zone rouge.

Cette défaite fait mal [...] Il faut accepter notre destin, sans être fataliste.
Gonzalo Quesada (Stade français) - 10 décembre 2016
Gonzalo Quesada (Stade français) - 10 décembre 2016

Jacques Brunel (entraîneur de Bordeaux-Bègles)

Après 7 matches sans victoire, les Girondins ont enfin retrouvé le sourire contre Grenoble (46-14).

Cela fait plaisir de retrouver un vestiaire joyeux. On ne va pas dire qu'il n'y a pas de soulagement car on commençait à s'inquiéter de ne pas arriver à renouer avec la victoire.

Bernard Jackman (manager de Grenoble)

Pour le Isérois, c'est la soupe à la grimace en revanche.

On est très déçu car depuis novembre, on était assez constant. Les deux matches où on est passé à côté, c'est à La Rochelle et ce soir (samedi, ndlr).
Bernard Jackman (Grenoble)
Bernard Jackman (Grenoble)

Vincent Rattez (ailier de La Rochelle)

Leaders du championnat, les Maritimes n'ont pas perdu en 2017.

On n'est pas inarrêtable. Mais c'est vrai que niveau mental, on est en pleine confiance.

Laurent Labit (entraîneur des arrières du Racing 92)

Beau joueur, l'entraîneur francilien reconnait la supériorité des Rochelais.

Je voudrais rendre hommage et féliciter La Rochelle. Ils sont bien à leur place (leader), ils ont encore impressionné ce soir. On s'est incliné face à une très belle équipe.
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