Elissalde: "Les pieds sur terre"

Par Rugbyrama
Publié le Mis à jour
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Satisfait de la victoire face à Agen et de la qualification pour les demi-finales, le demi de mêlée Jean-Baptiste Elissalde souhaite désormais que Toulouse ne s'enflamme pas.

Yannick Bru (Toulouse): "C'est un drôle de match. Agen nous a causé beaucoup de souci au début avec son pressing défensif. On a perdu pas mal de ballons. Puis ils not craqué et on a pu enclencher notre jeu. C'est bien d'avoir assuré la participation aux demi-finales. Mais compte tenu des structures du club et de l'investissement, c'est normal. Aller en demies pour y mourir n'a pas d'intérêt. Avant le match, j'ai passé quelques minutes à me dire qu'il n'y aurait plus jamais tout ça, mais on ne peut pas remonter le temps. Même si j'avais une machine, je ne le ferai pas, parce que j'ai été comblé ici."

Jean-Baptiste Elissalde (Toulouse): "Il faut tirer un coup de chapeau aux Agenais. Ce n'est pas facile pour eux de vivre un truc comme ça. Il nous fallait gagner, avec la manière c'est encore mieux. On a pu faire un clin d'oeil amical à nos collègues qui quittent le club. L'objectif c'était de se qualifier, il est atteint. Maintenant, il va falloir rester les pieds sur terre.

Vincent Clerc (Toulouse): "Avant ou il fallait la victoire pour assurer la qualification. Le deuxième objectif c'était d'être plus sérieux en défense que contre Bayonne. L'apothéose, c'était de ne pas rater la sortie de ceux qui ne joueront plus à Ernest-Wallon. On est en demi-finales. Notre dernier match à Bourgoin ne sera pas simple. Caucaunibuca? Il est toujours difficile à affronter, en plus j'avais lu dans les journaux qu'il revenait. Ce sont toujours des duels intéressants, je suis content que ce soit bien passé.

Didier Raynal (Agen): "On a vu une belle équipe de Toulouse. Nous avons réalisé une très bonne première période, notamment défensivement. Le travail effectué pendant la semaine a payé. Après, tous les joueurs ont explosé physiquement. Contre Toulouse, ça ne pardonne pas. Notre mêlée n'a pas tenu. Cela a pesé énormément, cela nous a coupé les pattes et nous n'avons pas pu enclencher notre jeu. Mais dans notre tête, notre finale c'était contre le Stade Français. Les Parisiens seront favoris, mais le peuple d'Armandie sera derrière nous."

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