"Ça fout les boules de finir comme ça"... Le top des déclas
Alexandre regrette de ne pas pouvoir faire ses adieux sur un terrain, un président de Top 14 trouve le concept des phases finales en août injuste, Bakkies Botha aimait voir la peur chez ses adversaires... Voici le top des déclas de la semaine.
Le prochain champion de France aura peut-être même un peu honte de son Bouclier…
Si la proposition de jouer des phases finales raccourcies en août a été sur le principe adoptée par la majorité des présidents de clubs, certains ne sont pas du tout satisfaits de cette décision qu'ils trouvent injuste. "Si Toulouse et Clermont ne peuvent se joindre à la fête, ajoute un président, ce mois d’août ne rimera plus à grand-chose," a déclaré un président du Top 14.
Franchement, aujourd’hui c’est très compliqué de se projeter à cet été en encore plus sur des phases finales.
Une semaine après l'annonce du déconfinement progressif programmé au 11 mai prochain et avec l'annonce du projet de phases finales disputées en août, le médecin du club de Clermont, Mathieu Abbot, en a appelé à la plus grande prudence, notamment au niveau de la santé des joueurs. "Certains de nos joueurs ont perdu 7-8 kg, on ne pourra pas leur faire reprendre en quelques jours. Il faudra aussi les faire s’entraîner collectivement."
Ça fout les boules de finir comme ça...
Le troisième ligne de Grenoble Fabien Alexandre a annoncé qu'il metteait un terme à sa carrière. Le joueur de 34 ans, passé également par Dax, Clermont et Biarritz, regrette de ne pas pouvoir faire ses adieux sur le terrain à cause de la crise sanitaire liée au Covid-19.
J’aimais voir la peur dans les yeux de mes adversaires
Dans un entretien à retrouver dans le Midi Olympique de ce lundi, l'ancien deuxième ligne sud-africain Bakkies Botha a complètement assumé son image de joueur très rude et à la limite de la règle. "Je voulais que l’adversaire comprenne que s’il se mettait à la faute dans un ruck, il recevrait un traitement spécial la fois suivante. C’était mon job, après tout !"
Mes amis français n'en ont rien à secouer, de l'histoire ; et notamment de l'histoire des autres.
Dans une interview où il se questionne sur le comportement de certaines personnes pendant le confinement, le pilier de Clermont Davit Zirakashvili, s'est dit désolé de l'existence de certains clichés visant son pays natal. "La Géorgie, ce n'est pas un morceau de Russie perdu dans le Caucase. La Géorgie, c'est un pays à part entière, avec son propre alphabet, sa propre langue."
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