Faits divers - Neuf clubs retirent par précaution des peluches de la vente, jugées dangereuses pour les bébés de moins de 10 mois

Par Rugbyrama
  • Pendant le Covid, les peluches avaient remplacé les supporters dans les tribunes d'Aimé Giral.
    Pendant le Covid, les peluches avaient remplacé les supporters dans les tribunes d'Aimé Giral. Icon Sport - Icon Sport
Publié le Mis à jour
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À l'aube des fêtes de fin d'année, un fabricant de peluches a sommé neuf clubs de Top 14 de retirer de la vente certains produits qu'ils commercialisent. Les peluches pourraient s'avérer dangereuses pour les bébés de moins de dix mois. Explications.

Tous les clubs de rugby, qu'ils évoluent en Top 14 ou en Pro D2, ont leur mascotte, et il n'est pas rare de trouver la version "mini" sous forme de peluche en boutique. Problème. Des peluches de certains clubs peuvent représenter un danger pour les enfants de moins de dix mois. La Rochelle, Mont-de-Marsan, Perpignan, Biarritz, Clermont, Montpellier, Bordeaux, Brive et le Stade français sont concernés. L'entreprise qui confectionne ces produits, Poupluche, en accord avec les clubs, a donc décidé de rappeler les peluches concernées.

Un risque jugé trop élevé

Ce sont les pieds des peluches qui posent problème avec des éléments durs qui pourraient mettre en danger ces nourrissons, s'ils l'ingèrent, par exemple. Auparavant autorisés, ces pieds ont été retoqués par un nouveau test qui a jugé une partie dure trop grande de quelques milimètres. Le gouvernement autorise donc la remise en vente des produits à condition que les défauts soient corrigés. De nombreux clubs de foot, basket ou le volley sont aussi concernés.

Pour les clients qui auraient acheté une peluche de ce type, les clubs proposent un échange avec une version "aux pieds doux" et, donc, sans danger pour les nouveau-nés.

Panthère, Buzoka, Cap de Burro, Koxha, Gergovix, Bikounet, Leo et Lea ainsi que Zouzou se refont une beauté avant de pouvoir être à nouveau adoptées...

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