L’Italie dans l’histoire

Les Italiens ont mis le feu au stade de Flaminio et vont tenter pourquoi pas de réaliser la passe de trois dans huit jours face aux Irlandais pour clore ce qui est déjà leur meilleur Tournoi depuis 2000.

Le petit par-dessus de Pez bien servi par Troncon permettaient à Mauro Bergamasco d'aplatir l'essai de la gagne, l'essai du bonheur italien même si la fin est entâchée d'une grosse faute d'arbitrage de Chris White. L'arbitre anglais avait dit à Hook qu'il avait le temps de taper en pénaltouche alors qu'il disposait d'une pénalité sur la ligne des 22 face aux poteaux à la dernière seconde de jeu. Après avoir marqué la touche, White a porté le sifflet à sa bouche pour ordonner la fin du match. Les Italiens exultaient quand les Gallois ne pouvaient cacher leur dépit et leur colère. L'arbitre Chris White a tenu à présenter ses excuses pour l'incompréhension aux Gallois qui les ont acceptés.

Dominateurs tout au long de la partie, les Italiens ne concrétisaient que trop peu leur temps forts. Face à des Gallois qui avaient bien repéré l'absence de deuxième rideau, les Italiens ont bien failli tomber dans le piège de l'indiscipline. Plus réalistes avec notamment deux beaux essais, les Gallois se montraient ensuite trop attentistes. Grosse erreur vu que le matelas n'était pas assez confortable. Du coup, les Gallois ne comptent toujours aucun point dans ce tournoi et ne disposent plus que d'un match pour éviter la cuillère de bois.