Comme des pros...

  • Renault Captur
    Renault Captur
  • Renault Captur
    Renault Captur
Publié le
Partager :

Les amateurs de Montrouge ont accepté le défi Renault Capturcall et ont pris part à un entraînement dirigé par Olivier Brouzet et Raphaël Ibanez. Ambiance.

Certes ce n'est pas le Pays basque ou la Bretagne, frappés de plein fouet par des tempêtes ravageant leur côte et détruisant leur digue. A Montrouge ce samedi, en région parisienne, pas de raz-de-marée, juste une pluie incessante, tombant plus drue encore en ce matin de Crunch. Dans l'après-midi, Français et Anglais vont s'expliquer pour leur entrée dans le Tournoi des VI Nations. Jean-Philippe, rugbyman amateur de Montrouge, a prévu de regarder le match entre amis. Avant cela, il doit aller s'entraîner avec son club du RCM. Devisant sur le temps, la chaleur de son lit douillet et la perspective des croissants chauds, la tentation du renoncement le gagne. Furtif surcroit de motivation, il s'arrache de ses draps, prend son sac sans se retourner et claque la porte. Il est déjà en retard.

Dans le vestiaire exigu, Vincent, l'entraîneur, profite que ses joueurs se changent pour rappeler l'importance de ces séances, dans le froid et sous la pluie: "ça nous servira pour les beaux jours", sermonne-t-il, quand l'acteur Verino entre en scène, profanant le sacro-saint vestiaire: "Je vous propose l’opportunité de vivre un moment unique, là, tout de suite, maintenant. Vous êtes prêts à tout laisser tomber et me suivre ou pas ?" Interloquée et dans un premier temps hésitante, la meute accepte finalement de relever le défi de l'impétueux. Quinze véhicules Renault Captur les attendent sur le parking. "Vous allez où ?" demande un retardataire. "Personne ne sait. Monte dans une voiture" s'entend-t-il répondre. Direction Colombes et son mythique stade Yves-du-Manoir, théâtre des exploits passés du XV de France.

Les amateurs de Montrouge ont accepté le défi #Capturcall. Au lieu d'un entraînement dans la boue, ils vont fouler la pelouse de Colombes sous les ordres de l'ancien international français, Olivier Brouzet et de Raphaël Ibanez, l'actuel manager de l'Union Bordeaux-Bègles. Un entraînement comme de véritables professionnels. Et l'émerveillement dès l'entrée dans les vestiaires des joueurs, trois ou quatre fois plus grand que ceux qu'ils connaissent. "J'en accepte tous les samedis des défis comme celui-là", lance Jean-Philippe sans savoir encore à quelle sauce les deux anciens rugbymen vont le manger. Échauffement, "skills", ateliers techniques et une opposition à quinze contre quinze. Sur la ligne de touche, deux joueurs blessés et privés de contact, maudissent leurs entorses respectives: "je suis dégouté" se répètent-ils à intervalle régulier. Sur le terrain, la discipline règne, on applique comme jamais les conseils distillés par Brouzet et Ibanez. "On était un peu intimidés au départ, explique Jean-Philippe, mais c'est normal. Deux joueurs avec une telle carrière, ça marque. Finalement, ça a été un régal pour tout le monde".

Vincent, son entraîneur confirme: "le contenu de l'entrainement n'était pas très différent de ce que l'on fait d'habitude, mais je suis content que mes joueurs aient relevé le défi. Pour la cohésion de mon groupe, pour les matchs difficiles qui nous attendent, je suis sûr que cette matinée va compter". Le technicien continue: "Et puis, pour l'entraîneur que je suis aussi, c'est extrêmement intéressant: voir comment deux professionnels se comportent, animent une séance, c'est très enrichissant". Le plaisir est partagé visiblement. "C'est assez génial, pense Olivier Brouzet, de voir l'envie et l'enthousiasme mis par ces rugbymen dans la séance qu'on leur propose. Ils étaient comme des gosses. C'est vraiment rafraîchissant".

Verino est le dernier à rentrer au vestiaire. Il a voulu donner de sa personne, s'est entraîné, même habillé de son costume impeccable. Ses côtes en ont payé le prix fort, mais ça n'a pas atteint sa bonne humeur: "Je croyais pourtant être rapide. Je me rends compte que les rugbymen sont beaucoup plus rapides que moi. Mais ce n'est pas grave, je trouve que c'était une idée formidable de proposer un défi #Capturcall à des joueurs de rugby. Cela va tellement bien avec ce sport où il faut surmonter sa peur, où il faut oser". Dans les Renault Captur qui les ramènent chez eux, les rugbymen de Montrouge se félicitent tous d'avoir osé vivre l’instant. Ils pressent le pas. Le Crunch n'attend pas.

Revivez cette expérience unique aux côtés des joueurs du RCM sur www.capturcall.fr

Renault Captur
Renault Captur
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?