Ils ont osé relever le défi #Capturcall

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Samedi dernier, 34 courageux rugbymen du club de Montrouge ont relevé le défi #Capturcall avec Olivier Brouzet et Raphaël Ibanez.

Samedi 1er février, première journée du Tournoi des VI nations 2014, jour de Crunch à Paris, où le XV de France reçoit l'Angleterre. La victoire est impérative pour les Bleus et les supporters ont déjà planifié la façon dont ils vont soutenir leur équipe. Avant la rencontre, 34 courageux rugbymen amateurs du club de Montrouge (Hauts-de-Seine), bravent la pluie et le froid et se rendent à leur entraînement hebdomadaire. Dans leur vestiaire exigu, le coach profite qu'ils se changent pour leur rappeler combien ces séances, sous la pluie et dans le froid, sont importantes. Ils acquiescent, mais vu le temps, ont du mal à y croire. La porte claque. L'acteur Vérino s'introduit dans le saint des saints: "Je vous propose l’opportunité de vivre un moment unique, là, tout de suite, maintenant. Vous êtes prêts à tout laisser tomber et me suivre ou pas ?" Changés, prêts à en découdre, les escogriffes hésitent tout d’abord devant l'impétueux. Ils échangent quelques regards, et finissent par accepter la proposition. Sur leur parking, 15 véhicules Renault Captur. Ils ne le savent pas encore, mais ces rugbymen vont vivre l'instant présent, le défi #Capturcall. Direction Colombes et le mythique stade Yves-du-Manoir, théâtre des exploits passés de l'équipe de France. Là-bas, les attendent l'ancien international Olivier Brouzet et le manager de l'Union Bordeaux-Bègles, Raphaël Ibanez. Les amateurs vont vivre l'entraînement d'une équipe professionnelle : échauffement, "skills", ateliers techniques et une opposition à quinze contre quinze. La concentration est rigoureuse. Aucun de ces rugbymen du dimanche ne manque un conseil distillé par les deux anciennes gloires du XV de France. "Des défis comme celui-là, j'en accepte tous les samedis", se félicite l'un d'eux alors que la séance touche à sa fin. Il ne faut plus tarder. Les Captur redémarrent, les pros d'un jour à leur bord. Le début de la rencontre approche.

Le coup d'envoi est d'ailleurs dans moins de deux heures quand le cortège des Captur vrombie rue Princesse à Saint-Germain-des-Prés au cœur de Paris, là où les amoureux du rugby aiment à se retrouver pour suivre les rencontres internationales. A peine remis des coups qu'il a subis quelques heures plus tôt, Vérino entre dans un pub. A l'intérieur, l'ambiance est déjà chaude, la tension monte peu à peu et les supporters les plus mordus sont installés au plus près des écrans pour ne rien rater de la rencontre. "Est-ce que vous êtes des vrais supporters ?", les harangue Vérino. "Si vous êtes des vrais supporters, acceptez-vous de me suivre, là, maintenant, tout de suite ?" Quelques-uns, frileux, refusent de quitter leur table. Vingt autres, plus téméraires, acceptent de relever un nouveau défi #Capturcall. Ils osent suivre l'humoriste, sortent du pub et s'engouffrent dans les véhicules. Ils commencent à comprendre ce qu'il leur arrive quand les premiers panneaux Saint-Denis apparaissent. Ils devaient suivre le match à la télé, ils le suivront finalement dans une des loges du stade, où les bulles de champagne remplacent le houblon de la bière, où Olivier Brouzet et Sylvain Marconnet, le pilier le plus capé du XV de France (84 sélections), les attendent pour leur faire partager leur analyse de la rencontre, échanger sur les actions chaudes, vibrer surtout sur la victoire française. L’arène est en ébullition devant les exploits de Huget et ses partenaires. Et les supporters qui ont osé relever ce nouveau défi #Capturcall sont aux anges.

L'enceinte dionysienne se vide doucement de ses 80 000 personnes qui ont assisté au triomphe français. Epuisés, rincés d'un scenario haletant, les supporters se dirigent tranquillement vers les transports en commun pour regagner leur domicile. Aux abords du stade, ils tombent sur un escadron de Renault Captur garés sur le perron. Troisième défi lancé aux amoureux du ballon ovale, troisième défi plus mystérieux que jamais. Vont-ils rentrer chez eux comme ils l’avaient prévu, ou accepteront-ils de tout laisser tomber pour vivre l’instant ? 100 spectateurs osent dire oui et bravent la fatigue pour l'inconnu. Le convoi se redirige vers le cœur de Paris. Rue Princesse, pardon rue de la soif à chaque journée du Tournoi des VI Nations. Dans ce confinement si particulier où se mélangent de manière conviviale joueurs professionnels et amateurs, passionnés de rugby ou simples bons vivants pour partager une soirée. Sylvain Marconnet a suivi. Nos supporters de Saint-Denis, ceux qui ont relevé le défi #Capturcall, pénètrent dans un pub privatisé pour l'occasion où ils font et refont le match. Open bar. Ils devaient se coucher tard dans la nuit, ils ne rentreront chez eux qu'au petit matin, après avoir célébré comme il se doit la victoire des Bleus dans le Crunch.

Tous ces fans de Rugby ont vécu des moments uniques grâce à Renault Captur en ayant osé dire OUI au défi #Capturcall.

Retrouvez toutes ces expériences exceptionnelles sur www.capturcall.fr

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