Encore une fois, Toulouse peut nourrir des regrets
Au terme d'un match complétement fou, les hommes d'Ugo Mola remportent le choc face au Racing 42-27. Avec un score de 28-6 en faveur des Toulousains à la mi-temps, les Rouges et Noirs aggravent même le score avec deux essais de plus en seconde période (40-6). Mais dans le dernier quart d'heure les Racingmen vont priver les Toulousains du bonus offensif avec trois essais inscrits consécutivement.
Dans un stade à guichets fermés, preuve de l’importance de l’affiche, c’était une ambiance de phase finale. Et un match comme celui-ci peut basculer jusqu’à la dernière minute… S’ils s’imposent, les Toulousains en ont fait les frais. Menés 42 à 6 à la 65ème minute et cinq essais à zéro, les Racingmen ont trouvé les ressources pour réagir et ainsi inscrire trois essais pour priver l’adversaire du bonus offensif. Ce point peut tout changer au moment de faire les comptes en fin de saison entre ces deux concurrents directs pour les demi-finales.
Dans un stade à guichets fermés, preuve de l’importance de l’affiche, c’était une ambiance de phase finale. Et un match comme celui-ci peut basculer jusqu’à la dernière minute… S’ils s’imposent, les Toulousains en ont fait les frais. Menés 42 à 6 à la 65ème minute et cinq essais à zéro, les Racingmen ont trouvé les ressources pour réagir et ainsi inscrire trois essais pour priver l’adversaire du bonus offensif. Ce point peut tout changer au moment de faire les comptes en fin de saison entre ces deux concurrents directs pour les demi-finales.
En l’espace d’un quart d’heure, tout a basculé. Dimitri Szarzewski sur un service d’Albert Vulivuli dans l’axe (67’) et Juan Imhoff après une passe au pied de Rémi Tales (70’) ont d’abord semé le doute. Puis c’est Joe Rokocoko (78’) qui est venu scorer, profitant d’un contre initié par Imhoff et présent sur un second ballon malgré le retour de Gaël Fickou. Avant cela, les Franciliens étaient aux abonnés absents en ayant presque tout raté dans leur copie. Ils ont payé les frais de leur indiscipline et de leur incapacité à tenir le ballon.
Le Stade toulousain n’a pas tout gâché
S’ils manquent ce point de bonus, les Haut-Garonnais n’en ont pas laissé à leur adversaire et doivent s’en satisfaire. Leur prestation pendant une bonne heure fut convaincante avec du mouvement perpétuel et une charnière combinant parfaitement. Surtout, on a retrouvé ce jeu de trois-quarts si caractéristique du Stade toulousain. Mention spéciale pour la réalisation de l’ouvreur Zack Holmes, au bénéfice d’une course de 60 mètres après avoir résisté à Anthony Tuitavake et en réussissant à transpercer toute la défense (30’).
Sébastien Bézy (21’), Maxime Médard (40’), Gaël Fickou (44’) et Thomas Ramos (64’) ont participé à ce festival offensif, à chaque fois après des actions collectives parfaitement menées. Voilà ce qui fait la force de cette équipe où le danger peut venir de partout. Mais il faut aussi souligner le fait que les Racingmen avaient un peu fait tourner pour ce rendez-vous. Ce résultat fait que les deux équipes se retrouvent donc à égalité (70 points) mais c’est bien le Stade toulousain qui devance le Racing 92 au jeu des confrontations directes.
#STR92 pic.twitter.com/YKCZefth0n
— Stade Toulousain (@StadeToulousain) April 15, 2018
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