Abonnés

Bordeaux, La Rochelle, Toulouse : 25 ans déjà

  • Toulouse, premier vainqueur de la coupe d'Europe en 1996 à Cardiff.
    Toulouse, premier vainqueur de la coupe d'Europe en 1996 à Cardiff.
Publié le Mis à jour
Partager :

Les trois clubs français qualifiés pour les demi-finales de champions cup, L’union bordeaux-Bègles, le stade rochelais et le stade toulousain ont des histoires singulières. où en étaient-ils il y a vingt cinq ans lors de la première édition de la coupe d’Europe et comment en sont-ils arrivés là ? Récits.

Vingt-cinq ans ! La Coupe d’Europe fête cette année ses vingt-cinq printemps… Voilà qui ne nous rajeunit pas, hein ma bonne dame ! En effet, c’est le 7 janvier 1996 que le Stade toulousain souleva le premier trophée continental des clubs de rugby (lire ci-dessous). Pour autant, cette compétition était expérimentale, et n’avait pas fait d’emblée l’unanimité en Europe. La preuve en est que les clubs anglais et écossais avaient refusé de participer à sa première édition, en raison d’un désaccord avec les organisateurs sur les sommes reversées. Celle-ci regroupait douze clubs : trois irlandais (Leinster, Munster, Ulster), trois gallois Cardiff, Pontypridd, Swansea), deux italiens (Trévise et Milan), un roumain (Farul Constantza) et trois français : Bègles-Bordeaux, Toulouse et Castres.

Vingt-cinq ans plus tard, on retrouve toujours trois clubs français, mais cette fois ils se sont tous hissés jusqu’en demi-finale. Les choses changent…
 

Que de chemin parcouru…

Alors, où étaient-ils, ces trois clubs qui font aujourd’hui partie du gratin européen ? Nous avons déjà évoqué le cas toulousain, qui a remporté le premier titre. Côté girondin, l’actuel club n’existait même pas : le Stade bordelais et le CA Bordeaux-Bègles-Gironde étaient à mille lieues de penser que dix ans plus tard, les deux entités se retrouveraient unies sous la même bannière. Et que dire de La Rochelle ? Déjà présidé par Vincent Merling, le club maritime survivait dans le groupe A2, où il occupait le ventre mou. Et l’on se dit que, quand il se retourne sur le passé, le président rochelais doit mesurer l’immense chemin parcouru…

Vous êtes hors-jeu !

Cet article est réservé aux abonnés.

Profitez de notre offre pour lire la suite.

Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de

0,99€ le premier mois

Je m'abonne
Voir les commentaires
Réagir
Vous avez droit à 3 commentaires par jour. Pour contribuer en illimité, abonnez vous. S'abonner

Souhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?