[ELECTIONS FFR] La FFR de Ferrasse, toute une ambiance
A l’époque d’Albert Ferrasse, la FFR exerçait un pouvoir hégémonique pour le meilleur et le pire. Les patrons du rugby français n’avaient pas peur de transformer l’institution en machine au service de leurs intérêts ou de leurs préférences. Rappelons le récit que nous avait fait Jean Fabre en 2010.
« Il faut se rappeler que la première division comptait parfois 80 clubs et que la FFR était dirigée par deux ou trois personnes qui se mêlaient de tout. A Toulouse, nous étions particulièrement visés, surtout à travers la commission de discipline. Le moindre geste de travers d’un joueur, et ça tombait dru. Un jour après un match très chaud à Montchanin, Philippe Rougé-Thomas et Jean Marie Cadieu avaient été cités. La Commission de discipline s’était montrée clémente, mais le pouvoir était passé derrière pour leur infliger un an de suspension. Nous étions dans un rapport de force permanent. A la puissance des institutions, nous opposions une arme essentielle : la presse était avec nous. Heureusement.
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