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Une histoire de familles

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Valence-d’Agen affronte Trélissac pour un match au parfum de retrouvailles familiales.

Pas banale, la confrontation d’une équipe (Valence-d’Agen, en l’occurrence) entraînée par le fils du président du club adverse. Hé oui, Pierre Laurent est bien la tête de liste trélissacoise. Autant dire que le fiston, Olivier, aurait bien voulu « ce rendez-vous au goût particulier ». D’un autre côté, fort de sa formidable campagne du printemps dernier, l’Avenir valencien se doit d’honorer son nouveau statut. Avec toute la vigilance qui s’impose.

En 2013, les Tarn-et-Garonnais, un an après avoir flirté avec le Pro D2, avaient connu une bien cruelle déconvenue (à savoir, l’élimination dès l’entrée en lice en phase finale et aux tirs au but) face à Périgueux, la formation pilotée par un certain… Olivier Laurent : « Voilà pourquoi nous nous remettons dans le bain en toute humilité, avec le maintien comme objectif initial. Disons que des liens très forts se sont tissés et que l’envie de revivre une aussi belle aventure est très forte ! »

Une différence de budget

Côté dordognot - nous sommes au cœur du Périgord blanc, histoire de respecter la terminologie en vigueur chez les autochtones, Stéphane Labrousse mesure l’étendue du chemin parcouru : « Le club a connu la Première Série dans un passé récent, ne l’oublions pas ! Je pense que nous abordons ce championnat avec un potentiel inférieur à celui de nombreuses équipes, sur le plan budgétaire notamment. Néanmoins, nous comptons sur nos valeurs pour faire bonne figure », explique l’associé de Gregory Mercier. Parmi ces axes forts, un collectif bien huilé à défaut d’avoir été renfort quantitativement parlant. Chez les Valenciens, on mettra volontiers en exergue la nouvelle vague symbolisée par les Soulies, Borderie et autres Thomas Robert tandis qu’à Trélissac, Michel Lajugie représente l’archétype du joueur de devoir sur lequel tout staff est enclin à s’appuyer.

Par Philippe Alary

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