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[Rio 2016] Le Top 5 du Tournoi olympique de Sevens féminin

Par midi olympique
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    [Rio 2016] Le Top 5 du Tournoi olympique de Sevens féminin
Publié le Mis à jour
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Présent pour la première fois aux Jeux Olympiques, le Seven a été l’occasion de belles découvertes pour ceux qui n’ont pas l’habitude de suivre le circuit World Rugby. Des joueuses ont brillé, se sont distinguées, et Midi Olympique propose donc une revue des cinq meilleurs joueuses de la compétition.

Charlotte Caslick

La meilleure joueuse de ce tournoi olympique. Excellente tout au long de la compétition, la jeune Australienne (21 ans) a parfaitement su orchestrer le jeu de son équipe et se montrer décisive. Avec 7 essais, Caslick est la joueuse qui a inscrit le plus d’essais à Rio au sein de l’é »quipe australienne. L’Australie était annoncée favorite et ses stars dont Caslick ont répondu présent. En finale après le premier essai marqué par les Néo-Zélandaises et Kayla McAlister, elle a a sonné la révolte pour mener les Australiennes au titre (victoire 24-17). C’est elle qui a inscrit le dernier essai australien de la finale.

Shannon Parry

La co-capitaine des « Pearls »(le surnom donné aux Australiennes) a comme Caslick réalisé une compétition de très haut niveau. Patronne de la défense australienne, la jeune femme de 26 ans a notamment gratté un turn-over très important dans la deuxième mi-temps de la finale face aux rivales néo-zélandaises. Celle qui joue également dans l’équipe d’Australie à XV, et est enseignante dans le civil est une des valeurs sûres de l’équipe championne olympique de la discipline.

Portia Woodman

La Néo-Zélandaise (25 ans) a terminé meilleure marqueuse d’essais de la compétition avec 10 essais. Talent pur, elle n’a cependant rien pu faire en finale contre les Australiennes. Très marquée par la défaite , Woodman s’est écroulée au coup de sifflet final, laissant éclater toute sa peine. La plus grande marqueuse d’essais de l’histoire du VII (119 essais en quatre saisons) devra pourtant attendre quatre nouvelles années pour espérer goûter à l’or.

Kayla McAlister

La soeur de l’international all black et joueur du Stade Toulousain Luke McAlister a brillé de mille feux sur ce tournoi olympique. Véloce, aux crochets électriques, c’est une joueuse puissante, redoutable et redoutée par ses adversaires comme l’en attestent ses sept essais dans la compétition. McAlister a commencé le rugby il y a quatre ans mais sa marge de progession reste exceptionnelle. Son essai en finale n’a malheureusement pour les Néo-Zélandaises pas suffi à aller chercher le titre tant convoité.

Jennifer Kish

La tatouée de l’équipe canadienne. Mais Jennifer Kish ne se résume pas seulement à cela et à sa chevelure péroxydée. La capitaine de l’équipe canadienne est une des étoiles du Seven. En 2012 et 2013, elle a été nommée joueuse de l’année de l’équipe féminine de rugby à sept canadienne. Capitaine de l’équipe qui a gagné l’or aux Jeux panaméricains de 2015 à Toronto, leader de caractère, elle a décroché avec ses coéquipières le bronze à Rio après la victoire face à la Grande-Bretagne dans le match pour la troisième place (33-10).

Par Enzo Diaz

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