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Lacroix et la Rochelle

Par midi olympique
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    Lacroix et la Rochelle
Publié le Mis à jour
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 Avant de toucher un ballon de rugby, l'enfant du Gers, Gabriel Lacroix, a avant tout goûté au ballon de foot et aux tatamis de judo. Aujourd'hui c'est pourtant bel et bien dans le rugby qu'il évolue. Histoire d'une ascension.

Comment se sont passés tes premiers pas dans le rugby ?

 

Il faut savoir que le rugby n'était pas mon sport premier. Je faisais du foot et du judo et le rugby est venu parallèlement vers l'âge de cinq ans. J'ai commencé donc au club de Lombez Samatan sur les conseils d'un prof d'école en cadets.

 

Comment s'est passé l'après Samatan ?

 

En cadets première année je suis parti à Toulouse où j'ai évolué deux ans avec le Stade Toulousain. Ensuite je suis allé joué 1 an à Auch. J'ai connu le Pro D2 grâce à Henry Broncan qui était de Samatan et qui m'a donc fait joué à Albi pendant 4 saisons où il était à l'époque entraîneur (2010-2014)

 

Comment ton intégration en Pro D2 s'est faite ?

Il faut dire que je suis arrivé dans une équipe d'Albi qui était très jeune. C'était à l'époque la politique d'Henry Broncan que de donner sa chance aux jeunes. J'ai été très vite intégré dans le groupe. Progressivement on se met au niveau des joueurs avec lesquels on joue. C'est compliqué au début car les gabarits sont différents. Mais aujourd'hui je suis très fier d'avoir débuté à Albi, j'ai adoré ce club, la ville. C'est un souvenir impérissable.

 

Et puis au bout de quatre ans à Albi (2011-2015), tu as atterri à la Rochelle. Aujourd’hui comment tu vis ton aventure rochelaise ?

 

Quand je suis arrivé à la Rochelle, je m'étais promis de donner le maximum et c’est ce que j'essaie de faire encore aujourd'hui à chaque match. Les coachs m'ont fait confiance et j'ai un temps de jeu qui me permet de m'exprimer. Nous jeunes, on se fait toute une montagne du Top 14, on se met la pression pour être au meilleur niveau que quand on arrive dans ce championnat on se rend compte que la différence avec le Pro D2 n'est pas énorme.

 

Tu évolues dans un club qui fait son bout de chemin en Top 14, comment te sens-tu personnellement au Stade Rochelais ?

 

 

Aujourd'hui je peux rien demander de plus. Je me sens très bien dans ce club car on partage des valeurs communes. Certes j'ai été arrêté un mois et demi car je me suis blessé début mars mais aujourd'hui je me sens bien et j'espère faire un maximum de matchs avec ce club.

 

Justement, quels sont les objectifs de cette fin de saison ?

 

On va prendre les matchs les uns après les autres et en gagner le plus possible. A la maison, on est une équipe qui est difficile à battre. Si on pouvait aller accrocher un match ou deux à l'extérieur ça serait énorme.

 

Pour finir, peux-tu nous faire partager un de tes meilleurs souvenirs rugby ?

 

(Il hésite énormément). J'ai vécu beaucoup de bons moments dans ce sport. C'est sûrement la question la plus difficile (il rit). C'est le match avec Albi où on se qualifie pour la demi-finale d’accession en mai 2015. Demi-finale que nous perdons face à Mont-de-Marsan.

 

Jessica Fiscal.

 

 

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