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Valence d’Agen et Castanet pour confirmer

Par midi olympique
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    Valence d’Agen et Castanet pour confirmer
Publié le Mis à jour
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Les huitièmes de finale du Trophée Jean Prat commencent ce dimanche. Valence-d’Agen et Castanet ont des déplacements périlleux.

La Seyne-sur-Mer – Valence-d’Agen (dimanche 15 h)

Avec de l’appétit

«Nous sommes soulagés d’avoir décroché la quatrième place de notre poule. Notre contrat est rempli. » Avant même d’évoquer les huitièmes de finale qui attendent son équipe, Manu Prospero, l’entraîneur varois, fait le bilan du parcours de son équipe dans une poule où les prétendants à la qualification étaient nombreux. « Avoir réussi à préserver cette quatrième place nous permet de basculer vers la phase finale… et d’éviter Tyrosse »

Aller plus loin

À trois reprises, les Landais avaient coupé la route des Varois qui, cette fois, affronteront Valence-d’Agen. « Dans les faits, c’est un quatrième contre un autre quatrième, avance Manu Prospero non sans nuancer le constat. Valence-d’Agen est une équipe qui fait partie des valeurs sûres de la Fédérale 1. » Et ce n’est pas parce qu’ils sont « soulagés » que les Seynois, qui avaient manqué le rendez-vous des phases finales la saison passée, sont démotivés. « Nous abordons cette phase finale avec de l’appétit, avec la volonté de bien faire. Nous voulons nous donner les moyens d’aller plus loin », assure Manu Prospero.

Par Jean-Pierre Dunand

Saint-Médard – Castanet (dimanche 15 h 30)

À qui mieux-mieux

«Qui va gagner ? », se demande-t-on au moment de formuler un pronostic. En banlieue de Bordeaux comme sur les bords du Canal du Midi, la question, absence de pression oblige, se pose différemment. Du genre, « Qui joue le mieux ? ». Et oui, « poudriers » et Castanéens ont tellement bien joué au ballon, régalant tous les observateurs, que le contenu prime sur toute autre considération.

Tout peut arriver

Justement, les premiers nommés, qui sortent d’un derby sans grand relief, vont pouvoir renouer avec une configuration qui ne leur a pas laissé un souvenir impérissable : « L’an passé, en Fédérale 2, nous étions un peu en bout de course, d’où cette élimination face à L’Isle-Jourdain », explique Patrick Vergé. Mais en ce printemps 2016, la saison du promu au budget plutôt modeste (750 000 euros) a été tellement aboutie qu’à défaut d’être en mesure d’aller au bout, Saint-Médard, dont le maintien aura été obtenu à la façon d’une simple formalité, peut très bien s’adjuger le gain de la première manche pour commencer. « Tout peut arriver », conclut, optimiste, le colistier de Benjamin Andreu.

Par Philippe Alary

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