Les bons mots de 2015
Colères noires, grosses déceptions ou traits d’humour… L’année 2015 revue en une sélection (forcément subjective) de sept déclarations
« Il y a des mecs qui sont là depuis trois ans, qui ont plus de 30 sélections. Il faut arrêter de se cacher derrière des faux-semblants. Leur carrière se fait sur les terrains, pas dans les médias ou les séances photos. Le rugby est un sport collectif. On n’a pas besoin de starlettes ! » — Philippe SAINT-ANDRÉ, sélectionneur du XV de France, après la nouvelle défaite des Bleus face au pays de Galles, dans le Tournoi des VI nations (13-20).
« Les grands joueurs font les bons choix dans les grands matchs. Aujourd’hui, je n’ai pas été un grand joueur » — Nick ABENDANON, arrière de Clermont, après la défaite de l’ASMCA en finale de Coupe d’Europe face à Toulon (24-18).
« On a abandonné notre pays » — Chris ROBSHAW, capitaine de l’Angleterre, à l’issue de l’élimination du XV de la Rose dans « sa » Coupe du monde.
« On va gagner parce qu’on est Français » — Serge BLANCO, avant le quart de finale du XV de France face à la Nouvelle-Zélande.
« Si tu veux le défier (le haka, N.D.L.R.), il faut être sûr de l’assumer. On avait de se battre jusqu’au bout, mais on n’était peut-être pas sûrs de l’assumer » — Morgan PARRA, demi de mêlée de l’équipe de France, après le quart de finale de Coupe du monde perdu face à la Nouvelle-Zélande 62-13).
« *silence* », Pierre CAMOU, après la défaite du XV de France face à la Nouvelle-Zélande,
« J’aime la saucisse et j’aime la merguez » — Jean-René BOUSCATEL, président du Stade toulousain, ironique dans le conflit qui l’oppose aux vendeurs ambulants autour du Stade Ernest-Wallon.
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