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Kockott: «On espère jouer»

Par Pierre-Laurent Gou
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    Kockott: «On espère jouer»
Publié le Mis à jour
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Promis à un rôle secondaire pour la fin du Mondial, le demi de mêlée Rory Kockott ne se résout pas à cela. Il espère toujours grappiller du temps de jeu pour pourquoi pas passer la pénalité de la gagne.

Trouvez-vous le temps long parfois ?

Des fois on peut trouver le temps long mais ce qu’il faut comprendre, c’est que nous participons à la plus belle compétition de rugby dans le monde. C’est un privilège d’être ici.

Comment vivez-vous personnellement cette Coupe du monde, où vous jouez moins que les autres prétendants à votre poste ?

Cela fait partie d’un effectif de 31 joueurs, d’en avoir qui ne jouent pas. Pour moi, le but c’est de travailler au maximum aux entraînements. Pour ceux qui ne jouent pas c’est dur, mais il faut se dire que le boulot que l’on réalise maintenant paiera plus tard. Et après, l’idée c’est d’aider son coéquipier, celui qui joue pour qu’il soit dans les meilleures dispositions.

Quand avez-vous compris que la hiérarchie des neufs était figée ?

J’ai l’impression que le staff sélectionne les joueurs en fonction du match du week-end, et pas en raison d’un prétendu classement. C’est notre boulot de faire ce qu’il demande et de continuer à s’entraîner dur.

Avez-vous l’impression d’avoir eu votre chance, notamment lors de vos rentrées dans les matchs amicaux ?

Le staff m’avait demandé que ce soit face aux Anglais, ou même contre la Roumanie dans cette Coupe du monde, de mettre du rythme dans le jeu. J’espère avoir répondu à leurs attentes.

Quelles ambitions avez-vous pour cette fin de compétition ?

On espère jouer, pouvoir donner le maximum pour l’équipe et gagner le match. Tout le monde doit avoir cela comme but. C’est mon objectif et je crois celui de tous mes coéquipiers.

En tant que buteur, imaginez-vous parfois, en train de mettre la pénalité de la gagne en finale ?

Oui, mais si tu y penses trop, ce n’est pas bien non plus ! Je connais mon rôle, mes responsabilités, j’espère que cela va arriver dans un moment et j’espère y être compétent.

Avez-vous des moments de découragement ?

J’ai joué quarante minutes en trois mois. J’ai plein de gaz et d’énergie. Je suis en pleine forme.

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