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Le bilan des Bleus face au Canada

Par midi olympique
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Publié le Mis à jour
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Certains garderont un bon souvenir de Milton Keynes, pour d’autres cette escapade loin de Londres pourrait bien avoir de fâcheuses répercussions.

Les meilleurs

Dusautoir : Le meilleur défenseur français avec treize plaquages, deux ballons récupérés et même un contre en touche. Le Dark Destroyer est de retour et s’est fendu d’interventions défensives saignantes aux quatre coins du terrain.

Michalak : Patron de la ligne arrière, Frederic Michalak est également devenu le meilleur marqueur français en Coupe du monde. Un 100 % de réussite au pied mais aussi et surtout une capacité à franchir la ligne de défense et créer des espaces pour ses partenaires. Il faut maintenant confirmer face à une grande nation. Cela tombe bien, l’Irlande arrive

Au niveau

Maestri — Papé : L’attelage français à une nouvelle fois été présent dans le travail de l’ombre, Pascal Papé se mettant même en lumière avec un essai. Si leurs statistiques tournent autour de dix plaquages, attention tout de même, ils en ont manqué deux chacun.

Bastareaud : Qui a dit qu’il ne savait pas faire de passe ? Le centre français a prouvé qu’il pouvait jouer dans un autre registre que celui de la percussion. En témoigne sa magnifique passe sur un pas à la 24e. Il ne manquait finalement.

Fofana : Il aurait presque pu s’offrir un doublé sans une faute de main dans l’en-but… il a cassé la ligne canadienne et retrouvé une certaine explosivité dont il n’avait plus fait preuve en équipe de France depuis un moment.

Ils ont manqué le rendez-vous

Tillous-Borde : Et s’il avait perdu sa place contre l’Irlande ? En difficulté, il a manqué pas moins de quatre placages. Hésitant derrière ses avants pourtant dominateurs il souffrira probablement de la comparaison avec Morgan Parra, très convaincant en à peine vingt minutes de jeu.

Grosso : Un baptême du feu n’est jamais évident à gérer. Son duel aérien manqué reste dans les mémoires. D’autant plus qu’il est à l’origine du premier essai canadien. Il s’est bien ressaisi en deuxième période et a su concrétiser l’une de ses rares occasions avec un essai en coin à la 74e.

Le Roux : Paradoxalement il aura plus brillé au poste de deuxième ligne contre la Roumanie qu’en troisième ligne face au Canada… Deux plaquages manqués et seulement quatre mètres avancés ballon en main quand Dusautoir et Chouly parcouraient respectivement 25 et 40 mètres.

P-O.C

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