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Pro D2 - Biarritz voit, enfin, un bout de soleil après la victoire face à Montauban

  • Avec cette victoire contre l'USM, les Basques sont sortis de la zone rouge.
    Avec cette victoire contre l'USM, les Basques sont sortis de la zone rouge. La Dépêche
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Vainqueur de ses deux derniers matchs, le BO sort enfin de la zone rouge. Il va pouvoir se lancer dans le sprint final, avec plus de confiance qu’il y a un mois.

Le BO n’est pas encore sorti d’affaire, mais il va mieux. Pour la seconde fois de la saison seulement, il est parvenu à enchaîner deux victoires, et alors que l’heure des vacances (méritées) est arrivée, le club basque pointe, ce matin, à la douzième place du classement. Il respire encore et garde toutes ses chances de se maintenir en Pro D2, sans passer par la case barrage. Il lui faudra, pour cela, réussir à négocier au mieux une fin de championnat compliquée, où il affrontera plusieurs prétendants à la phase finale (Béziers, Mont-de-Marsan, Provence, Brive…), mais dans un même temps, ses concurrents directs ne seront pas épargnés par un calendrier tout aussi coriace.

Les moments de joies, cette saison, à Aguiléra, se comptent sur les doigts d’une main. Dès lors, Simon Mannix n’a pas boudé son plaisir au coup de sifflet final. "J’ai dit aux joueurs : "Allez les gars, on passe un très bon moment ensemble." Ces moments-là sont aussi importants que le travail fourni sur le terrain", a estimé le technicien néo-zélandais dans la nuit basque.

Mannix : "Il se remet à sourire…"

Au terme d’une quinzaine une nouvelle fois agitée, l’ancien manager de la Section paloise a avoué avoir été impressionné par la capacité de l’équipe à "se concentrer sur l’essentiel". Il a aussi estimé que le "groupe mérite avec tout ce qui se passe autour". Enfin, il a utilisé une image pour le moins surprenante, mais qui est révélatrice de l’état dans lequel il a découvert ses nouveaux joueurs, il y a quatre mois. "Depuis que je suis arrivé, le groupe ne s’était pas exprimé. J’ai passé un mois en me disant "wouah". Si je fais la comparaison, c’est un peu comme un chien battu, qui avait du mal à sortir du coin, il restait dans l’angle, caché. Là, avec des petites caresses, des mots, des croquettes, de temps en temps, il se remet à sourire…" Petit à petit, et même si rien n’est encore acquis, le Biarritz olympique aperçoit, entre les nuages, quelques rayons de soleil.

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