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Top 14 - Montpellier veut plus qu’une demie

  • Benoit Paillaugue et les Montpelliérains défieront Bordeaux-Bègles samedi.
    Benoit Paillaugue et les Montpelliérains défieront Bordeaux-Bègles samedi. Icon Sport
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A Montpellier, le souvenir de la finale perdue en 2018 est encore vivace dans les têtes. Plusieurs années après, le deuxième ligne Paul Willemse nous avait confié que les semaines suivantes avaient été « parmi les pires de sa vie. »

Mais il faut reconnaître que les rescapés de cette époque ne sont plus très nombreux. Sur les 23 joueurs sur la feuille de match de la finale 2018, il n’y en a plus que six qui sont encore au club : Galletier, Ouedraogo, Willemse, Van Rensburg, Fichten et Nariashvili.

On peut ajouter Paillaugue, absent de la feuille. Depuis, ce MHR a bien changé. Le club est entré dans une nouvelle phase de son histoire la saison dernière quand le staff s’est stabilisé autour du triumvirat Saint-André-Azam-Elissalde, renforcé en début de saison par les arrivées de Ruiz et de Reihana. L’année dernière, les Cistes ont su redresser une saison bien mal embarquée et même, décrocher un titre en Challenge Cup après un beau parcours au cours duquel ils ont vaincu les Glasgow Warriors, le Benetton Trévise, Bath, et enfin les Leicester Tigers en finale.

Ce titre, même si les Cistes aiment le tourner en dérision, a néanmoins vraiment égayé une saison morose. Et il a concrétisé les efforts d’un groupe qui s’est toujours accroché. Ainsi, on peut dire que ce dernier connaît déjà l’ivresse d’un titre. Mais forcément, il en veut davantage.

Et avec la saison qu’il a effectué, il mérite largement sa place en demi-finale : « Nous avons été constants tout au long de la saison, cette deuxième place récompense cette constance », soulignait Philippe Saint-André. « Je suis très heureux que nous soyons à cette place car on sait que c’est très difficile d’être dans le dernier carré, souriait Benoît Paillaugue. On s’est payé en finissant deuxièmes. Après, la demi-finale c’est sympa, mais on s’en souvient pas. Donc une demie c’est bien, mais ça suffit pas. »

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