Pas d’embellie à l’horizon
Depuis l’abandon de Jean-François Fonteneau et la prise de recul de l’ancien ministre de l’Agriculture Didier Guillaume (un temps annoncé candidat, il ne sera finalement, et s’il est élu, que « personnalité extérieure » du comité directeur), il n’y a plus aucun proche de Bernard Laporte et Serge Simon parmi les trois candidats déclarés à la succession de Paul Goze.
Pour différencier ces trois hommes, on les classera simplement par « degré d’incompatibilité » avec la fédération, Vincent Merling prenant ici la pole, René Bouscatel la deuxième place et Alain Tingaud, homme fort du mandat Goze, le «moins mauvais choix» pour les fédéraux, si ceux-ci étaient amenés à choisir le président de la Ligue. Ce constat posé, force est de constater que les relations entre les deux instances ne connaîtront donc pas une embellie spectaculaire lorsque Paul Goze tirera sa révérence, le 23 mars prochain.
La semaine dernière, le groupe des seize présidents (Montpellier, Paris, Agen, Biarritz, Toulouse, Pau…) ne se reconnaissant pas dans la mouvance initialement majoritaire (celle de Merling) s’est réuni et, selon nos informations, aurait choisi René Bouscatel comme favori, un président de club du Sud-Ouest se « torchant » avec l’encre jaune de notre journal ayant visiblement été le seul à avoir émis un doute sur la décision d’adouber l’ancien président du Stade toulousain. Si le choix de la coalition des seize se confirmait dans les heures à venir et que d’un autre côté, la FFR maintenait son soutien officieux au groupe des seize mené par Thomas Lombard et Didier Lacroix, Bouscatel deviendrait un candidat très sérieux à la succession de Paul Goze…
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