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Lopez : "Ne pas tomber dans le n’importe quoi"

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Publié le Mis à jour
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Camille Lopez espère que les Bleus ne reproduiront pas les mêmes erreurs face aux États-Unis, notamment au niveau de la discipline.

Comment avez-vous occupé cette période sans match, les entraînements sont-ils plus intenses ?

On a eu dix jours entre les deux matchs. Cela nous a permis d’avoir un moment pour travailler dur car, avec trois matchs en dix jours, l’intensité ne sera plus la même. On sera dans la récupération et la préparation du match, on n’aura plus le temps de puiser dans les ressources.

Quels enseignements avez-vous retirés du premier match des États-Unis face à l’Angleterre ?

On avait déjà préparé le match en amont : ce qu’on a vu hier nous a confortés dans nos idées. C’est surtout à nous de rectifier ce qui n’a pas marché contre l’Argentine, d’être plus appliqués, propres et efficaces. Il ne faut pas tomber dans le n’importe quoi pour mettre à mal ces équipes. Il faut que nous restions appliqués, en évitant de sortir de nos structures de jeu, si on veut mettre à mal cette équipe-là.

Gagner avec le bonus offensif n’est-il pas capital ?

Il n’y aura pas cet objectif en rentrant sur le terrain : la priorité, c’est d’abord de le gagner. On est personne pour prétendre dire : contre cette équipe-là, on doit prendre le bonus. On verra comment se passe ce match. Le but, c’est de le construire proprement

Avez-vous aussi déjà commencé à préparer le match face au Tonga ?

Non, on pense seulement aux États-Unis. C’est pour ça que nous sommes 31 et qu’on peut bosser sérieusement, pour préparer ces matchs-là. Sur un format comme ça, quasiment tout le monde devrait participer, on ne va pas à commencer à faire des plans. Pareil pour le score, on n’est personne pour prétendre à un bonus. On est 31, on bosse ensemble de la même manière pour que tout le monde soit concerné. On travaille tous autant les États-Unis que les Tonga, pour être prêts pour les deux matchs. Il n’y a pas le choix, de toute façon il faudra être dans l’adaptation.

Contre l’Argentine, l’équipe a accusé le coup en seconde période, avec notamment beaucoup de fautes. Comment l’expliquez-vous ?

Je ne sais pas si c’est la bonne entame de l’Argentine, le fait d’avoir été mis sous pression. Tout ne peut pas être parfait, le plus important c’est de corriger ça. La discipline notamment est un point important. Forcément, on en a parlé. On finit le match avec quatorze fautes. Par miracle, on gagne. Normalement dans un match de ce niveau-là, tu le payes cash et tu ne gagnes pas. Tant mieux pour nous, ça nous a souri. Maintenant il faut rectifier le tir. Ce sont des erreurs individuelles même si l’engrenage en seconde mi-temps nous a poussés dans cette indiscipline. Ce n’est pas évident d’éviter les fautes mais à ce niveau, il faut en faire le moins possible.

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