L’USAP est malade
Dominés dans le combat, les Catalans sont tombés dans le piège normand.
Au délà d’un dépit legitime côté catalan, les mines sont tristes et la grosse déprime pointe son nez. Dans ces conditions, il est difficile de trouver un joueur voulant bien s’exprimer. C’est donc Partick Arlettaz qui s’y colle : "C’est une grosse deception. Nous faisons toujours la même chose et surtout les mêmes erreurs. Quand nous mettons du rythme, nous sommes bien mais on joue avec le frein à main. Il va falloir se soigner et vite."
Un manque de réalisme
Car Perpignan, dans ses lancements de jeu, a proposé des choses mais malheureusement, l’Usap a accepté le combat au ras et a été dominé. "Je ne suis pas surpris par Rouen. C’est une équipe construite qui joue sa chance. Rouen a été plus puissant. Nous avons eu l’occasion de mettre un second essai mais nous avons trop tergiversé et n’avons pas été efficaces et tueurs. Le point de bonus défensif n’est pas une consolation car on ne peut pas s’en contenter. Carcassonne était un mauvais match, Rouen en est un second", conclut le technicien catalan.
Le retour du groupe et des quelques supporters aura été long et pourra au moins permettre de chercher des solutions au mal catalan.G. L.
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