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Tanga-Mangene : « J’ai l’impression d’être là depuis un an ou deux »

  • Yoan Tanga-Mangene Yoan Tanga-Mangene
    Yoan Tanga-Mangene DR
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En provenance d’Agen, ce francilien de naissance semble s’être très vite adapté à ses nouvelles couleurs. Désormais, il veut jouer et gagner.

Midi Olympique : Quelles ont été vos premières impressions en débutant la préparation estivale ?

Yoan tanga-Mangene : D’abord, ça change d’Agen, notamment au niveau des infrastructures. Ici, c’est incroyable. Il y a tout. J’ai aussi été agréablement surpris d’être entouré par un staff très élargi. J’ai le sentiment qu’il y a un suivi très pointu de chaque joueur.

Pourtant, votre arrivée au Racing n’a pas été simple…

Y.T-M. : Mon choix, c’était de revenir dans la région parisienne, près de ma famille. J’ai grandi à Clichy-sous-Bois et j’ai joué à Tremblay-en-France. J’avais besoin de revenir près de ma famille.

La proximité de votre famille facilite-t-elle votre intégration ?

Y.T-M. : C’est une certitude. Je suis chez moi, à Paris. De plus, j’avais la chance de connaître pas mal de joueurs au club. Et depuis que je suis arrivé, j’ai été super intégré. Franchement, l’ambiance est vraiment très cool. J’ai l’impression d’être là depuis un an ou deux.

Mais vous aviez signé un précontrat avec le Stade français…

Y.T-M. : Mon premier choix, ça a toujours été le Racing. Ensuite, il y a eu un imbroglio sur lequel je n’ai pas envie de revenir. Aujourd’hui, je suis dans un grand club, c’est bien ça l’essentiel.

Quel objectif vous êtes-vous fixé ?

Y.T-M. : J’ai pour habitude de me fixer des objectifs très élevé. Je sais qu’au Racing, la concurrence est très grande et de qualité. D’abord, je souhaite donc progresser. Je pense qu’en côtoyant autant de grands joueurs, je vais pouvoir m’améliorer, grandir et progresser dans certains secteurs de jeu. Pouvoir travailler avec Chris Masoe, c’est quand même une chance. Ensuite, évidemment, j’ai envie de jouer le plus possible. Mais je ne me suis pas fixé d’objectif chiffré.

Avez-vous le sentiment d’avoir une plus grande pression sur les épaules désormais ?

Y.T-M. : Quand on porte les couleurs du Racing, c’est pour réussir. Pour gagner. Ici, on n’a pas d’excuse. Tout est réuni pour nous faciliter la tâche, pour nous permettre d’être à notre meilleur niveau. Si on n’est pas bon, on ne peut s’en vouloir qu’à nous-mêmes. Les attentes autour du club sont grandes. Depuis plusieurs années, le Racing est quasiment toujours dans le dernier carré, que ce soit en Top 14 ou en Champions Cup. Forcément, quand tu es éliminé deux fois en quarts de finale, comme l’an dernier, c’est décevant pour les supporters. Je peux le comprendre. Mais ça reste quand même une belle saison.

Vous allez découvrir la Champions Cup. Ressentez-vous de l’excitation ?

Y.T-M. : Quand j’ai vu la poule dans laquelle nous sommes tombés (Saracens, Munster, Ospreys, N.D.L.R.), j’étais super content. Je rêvais de pouvoir jouer contre les Saracens. Pour un garçon de mon âge, c’est quand même excitant de pouvoir affronter ce genre d’équipes. Il me tarde de découvrir cette compétition. 

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