"Nous avons toujours une épée de Damoclès au-dessus de la tête" - Le Top des déclas
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L'inquiétude de Noriega, la prudence de Landreau, l'hommage de Revol ou la mise au point de Novès... Les phrases marquantes de la 25e journée de Top 14.
Olivier Azam (manager de Lyon):
Dans le rugby de haut niveau, il y a des choses inévitables et presque mathématiques. Quand on ne respecte pas ce jeu, c'est inévitable
Fabien Gegenbacher (arrière et capitaine de Grenoble):
Les joueurs ont prouvé qu'ils ne voulaient pas laisser mourir le club. Certains sont sur le départ mais ils ont montré qu'ils avaient le sang bleu et rouge
Jean-Pascal Barraque (centre de La Rochelle):
Le groupe a été extra cette saison, que ce soit humainement ou sur le terrain. [...] On a aussi l'un des meilleurs publics de France. C'était à nous de leur rendre un peu
Fabrice Landreau (manager de Grenoble):
Il y a le sentiment de devoir accompli mais nous avons toujours une épée de Damoclès au-dessus de la tête. Lyon va jouer son dernier match en Top 14, ce sera le dernier match de Lionel Nallet. Les Lyonnais ont beaucoup d'orgueil, il sera également question de suprématie régionale
Guy Novès (manager de Toulouse):
Je n'ai pas senti des joueurs suffisamment motivés pour pouvoir s'imposer. J'espère que ce sera un mal pour un bien, que les joueurs vont remettre les pieds sur terre et mettre les bons ingrédients dans les prochaines semaines
Mauricio Reggiardo (consultant de Castres):
Ce n'est pas pour rien que le CO était champion de France il y a deux ans et finaliste l'an dernier. Il y a eu un moment de doute mais aujourd'hui, le CO est à sa place
Pierre-Yves Revol (président de Castres):
Avant l'arrivée de Reggiardo, l'équipe était déboussolée, totalement abattue. On lui doit une fière chandelle, il aura fait une brève carrière d'entraîneur au CO mais a écrit une très belle page de l'histoire du club
Arnaud Mignardi (centre de Brive):
Si on arrive à se maintenir, on aura tout fait, on se sera envoyé comme des chiens, on n'aura rien à se reprocher
Pierre Bernard (ouvreur de Bordeaux-Bègles):
Toulouse, chez eux en ce moment, chez les bookmakers, on risque d'avoir une cote très très haute
Patricio Noriega (manager de Bayonne):
Pour nous, la situation est très délicate. On a encore une semaine très dangereuse pour ne pas descendre. On va souffrir.
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