"C'est Boudjellal qui venait nous donner le score" - Le Top des déclas
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TOP 14 - La déception d'Ibanez, la prudence des Toulousains, la motivation de Roubert, la colère d'Arias ou encore l'anecdote d'Urios... Les phrases marquantes de la 26e journée de Top 14.
Laurent Labit (entraîneur du Racing-Metro):
Je ne voulais pas être informé des résultats des autres équipes. La priorité était de gagner et de bien gagner, ca ne m'intéressait pas de rentrer en phase finale par la petite porte
Guy Novès (manager de Toulouse):
Oyonnax? Le danger sera encore supérieur puisqu'ils sont dans les six premiers. Ils ont fait tourner à Toulon car ils avaient prévu ce quart de finale alors que de notre côté nous avons dépensé beaucoup d'énergie
Yoann Maestri (deuxième ligne de Toulouse):
Oyonnax aurait dû gagner chez nous et nous avons perdu là-bas donc on va être en danger
Raphaël Ibanez (manager de Bordeaux-Bègles):
On est tous déçu de s'arrêter comme ça à un coup de pied mais il faut rester digne dans la défaite. Beauxis et Bernard font partie des meilleurs buteurs du Top 14 mais là c'est passé à côté
Olivier Azam (manager de Lyon):
C'est une fierté d'offrir une belle sortie à Lionel Nallet. Et nous n'avons pas faussé le championnat comme certains le craignaient
Yann Roubert (président de Lyon):
Nous n'acceptons pas l'échec et nous allons nous remettre au travail. Nous allons mettre les bouchées doubles pour revenir deux fois plus forts
Patricio Noriega (manager de Bayonne):
On a essayé mais ça n'a pas suffi. Même dans les moments difficiles, on a continué à batailler. Il faut apprendre de ces expériences. Comme dans la vie, rien n'est facile en Top 14
Patrice Collazo (manager de La Rochelle):
Quand je vois Bayonne qui est suspendu à une pénalité à Lyon, se maintenir cette année c'était un exploit. Aujourd'hui, c'est compliqué de voir des images comme ça. Quand on voit le désarroi de tout un club, c'est un peu emmerdant. On a rien volé, on est allé tout chercher
Gaëtan Germain (arrière de Brive):
On avait plus d'excitation que de stress, de l'euphorie. La pression populaire de la rue durant toute la semaine, l'excitation des gens derrière nous, le plaisir pris ensemble aujourd'hui, tout cela crée un grand moment aujourd'hui, et un grand soulagement
Julien Arias (ailier du Stade français):
Brive était en furie, nous a endormis. On les a laissé jouer à leur rythme, on les a regardé jouer. On n'a pas montré notre vrai visage, nos valeurs que nous montrons tout au long de la saison
Christophe Urios (manager d'Oyonnax):
C'est le Président de Toulon qui venait nous donner le score de Toulouse/Bordeaux-Bègles pendant le match
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