Top 14 - Blair Kinghorn à l'aile, une corde de plus à l'arc toulousain : l'opinion du Midol après Toulouse - Racing
Aligné à l'arrière depuis son arrivée à Toulouse, Blair Kinghorn a brillé à l'aile ce samedi. Ce qui offre d'autres options au staff stadiste.
Le Stade toulousain raffole des grands joueurs. Indéniablement, il en compte un de plus depuis que Blair Kinghorn a débarqué dans cet effectif début décembre. Le club le plus titré de l'Hexagone raffole aussi des hommes polyvalents sur le terrain. Là encore, l'international écossais coche les cases. Titulaire à l'arrière du XV du Chardon et souvent aligné à l'ouverture lorsqu'il jouait à Edimbourg, c'est avec le numéro 15 dans le dos qu'il a brillé depuis son arrivée à Ernest-Wallon. Normal, puisque Thomas Ramos dépannait en dix en raison de la blessure de Romain Ntamack.
Mais le retour de ce dernier a changé la donne. Et, face au Racing 92, c'est à un autre poste que les supporters toulousains ont pu admirer ses qualités, à savoir sur une aile. Un postee qu'il a souvent occupé avec son équipe nationale et une option que le staff d'Ugo Mola envisageait depuis longtemps. Il voulait la tester avant la demi-finale de Champions Cup. La raison ? Se donner la possibilité d'avoir Ntamack, Ramos et Kinghorn en même temps sur le terrain. Pour un coup d'essai, ce fut un coup de maître. L'Ecossais - auteur d'un essai - fut l'auteur de plusieurs interventions décisives dans la ligne.
"C'est très bien, apprécie son entraîneur Virgile Lacombe. Il a surtout réussi à passer les bras pour faire vivre le ballon. Cela permet de faire jouer ensemble deux joueurs qui sont habituellement en concurrence à l'arrière." Très bon sous les ballons hauts, Kinghorn offre aussi une deuxième solution efficace au pied sur le triangle d'attaque quand il est associé à Ramos. Est-ce que ce sera encore le cas face aux Harlequins ? Ce sera au manager de trancher, d'autant que Lebel et Mallia sont également performants depuis des mois. Mais c'est justement un choix que Mola s'est donné le droit d'avoir. Lequel n'était pas possible quand Melvyn Jaminet était le concurrent de Ramos, puisque le (désormais) Toulonnais ne pouvait pas glisser sur une aile.
Vous êtes hors-jeu !
Cet article est réservé aux abonnés.
Profitez de notre offre pour lire la suite.
Abonnement SANS ENGAGEMENT à partir de
0,99€ le premier mois
Je m'abonne Déjà abonné(e) ? Connectez-vous
J'ai déjà un compte
Je me connecteVous souhaitez suivre ce fil de discussion ?
Suivre ce filSouhaitez-vous recevoir une notification lors de la réponse d’un(e) internaute à votre commentaire ?