Michalak: "J’ai toujours pensé aux Bleus"

Par Rugbyrama
  • Frederic MICHALAK - sharks highlanders - 5 mai 2012
    Frederic MICHALAK - sharks highlanders - 5 mai 2012
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Il a un an, Frédéric Michalak a quitté Toulouse, où il était en disgrâce, pour tenter un deuxième exil en Afrique du Sud. L’international aux 54 sélections s’y est aujourd’hui relancé, au point de revenir dans les petits papiers du XV de France. Le futur toulonnais semble épanoui.

Quel regard le staff des Sharks avait-il sur vous lors de votre dernière saison à Toulouse ?

Un regard lointain. En revanche, l’entraîneur était énervé à mon arrivée parce que, physiquement, je n’étais pas au niveau. Il se plaignait de ma fatigue. Il faut dire qu’ici, les moyens pour la préparation font la différence : il y a du repos, deux mois et demi de préparation. Au final, les joueurs arrivent à encaisser.

Suivez-vous le Top 14?

Je regarde les matchs qui sont diffusés. Samedi soir, nous avons fini tard: j’ai regardé la fin du match de barrage entre Toulon et le Racing-Metro.

Votre nom est cité parmi les candidats à la tournée du XV de France: cela vous touche t-il?

Je verrai ce qu’il en est à la publication de la liste. Si j’y suis, je serai très content. J’y ai toujours pensé même depuis mon retour en Afrique du Sud. Revenir, cela a toujours été l’un de mes objectifs. Il n’y a pas de frontière. Ici, je joue des matchs de haut niveau et cela peut être intéressant. Mais ce n’est pas tellement diffusé.

Pouvez-vous parler de Toulon désormais?

J’espère signer mon contrat en juin. Il y a un dernier match le week-end prochain puis une pause pour les tests internationaux. J’ai prévu de rentrer en France et de parapher mon contrat.

Qu’est ce qui a motivé votre décision de venir à Toulon?

Déjà, l’effectif: c’est une équipe qui peut compter sur beaucoup de bons joueurs. Toulon a beaucoup d’objectifs. Cette volonté de jouer au plus haut niveau m’attire aussi. Il y a une équipe pour assumer les cadences : jouer le Top 14 mais aussi la H Cup. L’environnement me plaît aussi. Il y a de la passion, une atmosphère. J’y vais pour faire mon maximum, m’amuser le plus possible. Je veux partager la vie d’un club que je ne connais pas.

Retrouvez l'intégralité de l'interview, sur une page, dans Midi Olympique de lundi...

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