Ducuing : "Je ne conçois pas une journée sans rire"

Par Rugbyrama
  • Top 14 - Nans Ducuing (Bordeaux-Bègles)
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Publié le Mis à jour
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TOP 14 - Talentueux et spectaculaire sur le terrain, l'arrière girondin se sert aussi de son sens aigu de la comédie pour régaler les supporters et animer ses réseaux sociaux, faisant ainsi souffler un vent de fraîcheur en ces temps troublés. Rencontre avec un trublion sensible et intelligent.

Alors que le confinement se prolonge et que les championnats sont à l'arrêt depuis plus d'un mois, les amateurs de rugby ont encore de quoi nourrir leur passion. Au moins pour en rire. Et c'est sur les réseaux sociaux que ça passe.

Instagram, Twitter, Facebook, c'est le royaume de Nans Ducuing. Un joueur franchement attachant, et réputé pour son sens de la dérision et sa créativité, qu'il met à l'honneur dans de petits sketchs vidéo qu'il met en ligne. Alors, en cette période de "vide", l'arrière de l'UBB a du temps. Beaucoup de temps. Suffisamment pour dégainer une nouvelle salve de sketchs. Franchement réussis.

Dans un long entretien à paraître ce vendredi dans Midi Olympique, Ducuing raconte: "Mon père était un fin blagueur... Il l'est toujours d'ailleurs ! Ma mère aussi possède ce côté souriant, à rigoler constamment. Je dois tenir ça d'eux. J'ai grandi avec les Charlots, les Nuls, les Inconnus, les caméras cachées de Lafesse... Je ne conçois pas une journée sans rire."

Une deuxième nature, plus encore qu'une passion, qu'il vit le plus souvent avec son compère Jean-Baptiste Dubié - "on est aussi truffé l'un que l'autre, en effet" - et avec l'assentiment de son entraîneur, Christophe Urios, qu'il parodiait dans un de ses derniers sketchs. "Il m'a écrit un petit message à la fin du week-end qui m'a fait plaisir. Il a conclu en me disant que je ne devais surtout pas changer." En qu'importe si, parfois, cela vaut à Ducuing des critiques anonymes, plaie indécrottable des réseaux sociaux. "Je fais les choses qui me plaisent, qui me font du bien et je ne pense pas au reste."

Finalement, une seule fois il regrettera franchement une de ses facéties. C'était à Perpignan et n'ayant que peu goûté sa dernière blague, Henry Tuilagi l'avait menacé d'un taser... "J'étais pétrifié, je répondais "amen" à tout ce qu'il disait !" Tu m'étonnes...

Retrouvez ici l'intégralité de l'entretien avec Nans Ducuing, joueur aussi farceur qu'attachant

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