"J'en ai marre que l'on soit cons comme ça"... Voici le top des déclas

Par Rugbyrama
  • Top 14 - Christophe Laussucq (Agen)
    Top 14 - Christophe Laussucq (Agen)
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TOP 14 - Au programme de ce top des déclas, du classique avec Mourad Boudjellal, mais aussi beaucoup de frustration avec entre autre Romain Sazy et Christophe Laussucq ou Paul Abadie à chaud.

J'ai rajouté de la pression, là où mes joueurs n'en avaient pas besoin. Mais nous ne sommes pas morts, ce soir. On va construire, et ça va passer. Puis finalement... il y a tellement de Toulonnais ce soir que Toulon a gagné... Va-t-on récupérer quatre points ? Je vais appeler la Ligue... Ce ne sont pas des mercenaires, mais alors il faut arrêter de dire "on est Toulonnais, on est Toulonnais, on est Toulonnais". Jamais en venant à Mayol je prendrais le vestiaire de gauche... Mais je pense qu'il y a deux sortes de Toulonnais : ceux qui donnent et ceux qui reçoivent.

Après une semaine très agitée médiatiquement, Mourad Boudjellal a conclu l'affaire des Toulyonnais par cette conférence de presse d'après match, où il n'a, une nouvelle fois, pas mâché ses mots.

On peut être fier de nous ce soir, on s'est envoyé comme des ânes. On ne repart même pas avec un bonus défensif, c'est malheureux mais il faut le dire, ça fait chier !

Paul Abadie, à chaud, en bord pelouse au micro de Canal + après la défaite au Hameau.

J'en ai marre que l'on soit cons comme ça, sur les renvois, notamment. Il n'y a pas d'autres mots. Il faut grandir.

Christophe Laussucq et les Agenais sont rentrés bredouilles après avoir fait douter les Palois durant 75 minutes...

On a fait quarante très bonnes premières minutes et après, voilà… C’est dommage et il y a des regrets, forcément. Il y a des progrès, comme sur la défense, même si c’est dur de repartir sans se payer. Il aurait fallu faire le match parfait pour cela, mais nous ne perdons pas espoir.

Romain Sazy et les Rochelais sont également rentrés bredouilles du GGL Stadium samedi soir (30-16), malgré une excellente performance.

Les victoires, ça ne s'achète pas. On vit dans un monde où on peut tout faire vite, acheter sur internet en deux clics, aller au "drive". Seulement, le sport professionnel, ce n'est pas ça. Il faut un peu de patience.

Les hommes de Dewald Sénékal se sont fait peur samedi soir. Malgré une entame de match idéale (17-0 au quart d'heure de jeu). Mais comme le précise le Sud-africain dans son interview pour Rugbyrama, malgré un gros écart au niveau du budget, "Il ne fallait pas s'attendre à rouler sur Bayonne." Score final 33-27.

Par Baptiste Barbat

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