Mola : "On ne peut pas nous mettre le couteau sous la gorge"
TOP 14 - Face à l’actualité chaude avec l’allongement de la fenêtre internationale d’automne, il a choisi de sortir du silence, auquel il s’était astreint depuis cinq mois, pour partager ses craintes. direct, comme à son habitude, il tire la sonnette d’alarme sur le rugby des clubs et évoque son parcours.
On ne vous a pas entendu ces derniers mois. Pourquoi ?
Il me semblait que je n’avais pas à m’exprimer durant le confinement. À la limite, c’était le rôle de mon président et des institutions. On a pris beaucoup de recul, ce qui nous a évité de dire pas mal de bêtises, dans le sens où on a entendu tout et n’importe quoi.
L’actualité est chaude avec l’allongement de la fenêtre internationale d’automne…
La première étape, c’est le niveau d’informations qui est le nôtre. L’actualité colle avec ce qui a été fait depuis trois ou quatre mois. Des effets d’annonce, des prises de décision, sans qu’on ait pour autant le mode opératoire : comment ça va se passer, avec qui, quand, combien. Au-delà de la décision de World Rugby d’imposer cette fenêtre plus grande, les déclarations vont à contre-courant de ce qui pourrait être fait en termes de gestion des internationaux, pour ne pas repartir sur une année de Coupe du monde.
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