Balès : "Du déchet, c’est inévitable"

  • Alexi Bales - La Rochelle
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  • Alexi Bales de La Rochelle
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TOP 14 - Après l’expérience vécue avec les Barbarians en juin en Nouvelle-Zélande, sur laquelle il revient, le demi de mêlée de La Rochelle Alexi Balès a repris l’entraînement il y a deux semaines. À l’occasion du premier match amical rochelais, il jouera la première mi-temps contre le Stade Français ce vendredi soir.

Rugbyrama : Alexi, vous figurez dans le XV qui débute ce vendredi soir contre le Stade Français.

Alexis Balès : Je ne pense pas que j’étais prévu pour jouer les premiers matchs amicaux mais je crois que Tawera (Kerr-Barlow, demi de mêlée néo-zélandais du club) a un petit problème. Je suis bien physiquement. Les tests se sont bien passés. Moi, tant que l’on me dit d’être sur le terrain, ça me va. C’est vrai que j’ai quatre semaines de retard par rapport aux autres mais je me sens bien (il a repris fin juillet). Dans ce contexte, pourquoi pas commencer à jouer dès ce week-end (match ce vendredi à 20h contre le Stade Français).

Ce sera le premier match amical des Rochelais contre des Parisiens pour qui ce sera le troisième. Quels seront vos objectifs ?

A.B. : Ils sont avance sur nous sur la préparation. C’est indéniable. Ils en sont au troisième match mais on ne va pas se focaliser sur l’adversaire, sur l’effectif. On a envie de valider tout le travail qui a été fait durant les dernières semaines. Pour un premier match amical, les objectifs vont être assez simples. On devra répondre présent dans l’engagement, et l’envie. C’est surtout ça que les coaches vont juger. Il y aura des ballons perdus, du déchet, c’est malheureusement inévitable pour un premier match amical. Mais on ne le cache pas, l’objectif c’est de gagner le match.

Alexi Bales de La Rochelle
Alexi Bales de La Rochelle

Racontez-nous l’expérience de la sélection avec les Barbarians. Vous êtes parti avec eux en Nouvelle-Zélande il y a deux mois.

A.B. : Ce fut formidable comme expérience, c'était la première fois que j'allais en Nouvelle-Zélande. Déjà, les Barbarians ont un côté plus détendu. Ce n’était pas les vacances car on s’entraînait presque tous les jours. C’est le rugby tel que celui qu’on a connu à nos débuts, les copains, la fête et le ballon au milieu. On était confrontés à ce qu’il se fait de mieux dans le monde. Je pense qu’on en ressort tous plutôt grandi et expérimenté de cette tournée. Encore plus qu’en Top 14, dès qu’on fait une erreur, ça va tellement vite en face qu’on le paye cash.

Qu’est-ce qui vous a le plus marqué ?

A.B. : J’ai pu me rendre compte comment sont les Néo-Zélandais depuis tout petit. Ils jouent tous au rugby, c’est vraiment leur culture. On comprend pourquoi ils sont multiples champions du monde. Je ressors plus mature de cette expérience.

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