Sinzelle : "Je m'en fous de jouer 10"

  • Jérémy Sinzelle (La Rochelle) - août 2017
    Jérémy Sinzelle (La Rochelle) - août 2017
  • Jérémy Sinzelle (Stade français) face à La Rochelle - 2 octobre 2016
    Jérémy Sinzelle (Stade français) face à La Rochelle - 2 octobre 2016
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TOP 14 - Trois-quarts polyvalent, Jérémy Sinzelle a débuté pour la seconde fois de la saison à l’ouverture. Voici son ressenti à l'issue de la victoire rochelaise contre Oyonnax (57-12).

Après le match contre Brive, vous démarriez une nouvelle fois à l'ouverture hier. Comment s'est passé ce match ?

Jérémy Sinzelle : C’était un peu compliqué, il ne faut pas se le cacher. Heureusement que les copains autour ont bien réagi. C’est ce qui nous a permis de gagner le match et de prendre le bonus. Heureusement qu’on a vite pris le score parce que sinon le match aurait basculé dans une autre dimension.

Qu’est-ce qui a été compliqué ?

J.S. : La gestion du match, c’est-à-dire l’alternance. Ce n'est pas toujours aisé de choisir entre le jeu à la main et l'occupation au pied. Ça, je n’ai pas su le faire, alors qu’il le fallait, c’était les consignes de Patrice (Collazo).

En revanche, le poste de pilier ne m’intéresse pas du tout...

Qu'est-ce que ça représente pour vous d'évoluer à l'ouverture, vous qui êtes habituellement ailier/arrière ?

J.S. : Je suis au service de l’équipe. Le plus important, c’est qu’on essaye de bien jouer collectivement. Personnellement, je m’en fous de jouer en 10, à l’aile. Il y a peu de différences pour moi, même s'il est vrai que j’ai un peu plus mes repères à l’aile. Si je dois continuer à jouer en 10, je dois progresser à l’entraînement et m’améliorer en match.

Jérémy Sinzelle (Stade français) face à La Rochelle - 2 octobre 2016
Jérémy Sinzelle (Stade français) face à La Rochelle - 2 octobre 2016

Votre histoire en 10, ça a débuté comment ?

J.S. : À Paris, j’avais joué un peu pour dépanner. Mais je n’avais jamais commencé, j'étais repositionné en cours de match. Ça m’arrivait quelques fois. Mon vrai poste de formation, c’est à l’aile. À Paris, j’ai aussi joué arrière quand il fallait remplacer Djibril (Camara) ou Hugo (Bonneval). Ailier ou arrière, c’est presque pareil mais 10 pas du tout ! La polyvalence, c’est important, si on peut dépanner et être bien au niveau du collectif... Bon, en revanche le poste de pilier, ne m’intéresse pas du tout, chacun son boulot (rires).

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