Lanta: "Il nous faut prendre des points à tout prix à Grenoble"

  • Lanta - 21 septembre 2012 - Bayonne
    Lanta - 21 septembre 2012 - Bayonne
  • Christian Lanta - bayonne - 2 novembre 2013
    Christian Lanta - bayonne - 2 novembre 2013
Publié le Mis à jour
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Rassuré par le succès face au Stade français, Christian Lanta estime que Bayonne ne doit pas faire le voyage à vide à Grenoble pour son opération maintien.

Après le Stade français, c'est un nouveau match capital pour le maintien qui vous attend en Isère ?

Christian LANTA: Ce sera un match très difficile. Il nous faut prendre des points à tout prix à Grenoble, qui n'est pas aussi moribond que l'on croit. C'est vrai, en un mois c'est une équipe qui est passée de qualifiable à disputer le maintien. Mais elle conserve toutefois beaucoup de certitudes sur son jeu. Et nous, on y va avec un plus: notre victoire contre le Stade français, qui était une très bonne victoire car en revisionnant le match, on s'est aperçu que c'était un très bon Stade français en face de nous. Après, c'est un match de rugby, on peut faire toutes les théories, chaque rencontre apporte son lot de surprises.

Où en êtes-vous de la "dernière ligne droite" que vous évoquiez la semaine dernière ?

C.L: Aux 33 mètres (sourire). Et un record se joue au millième près. Ce championnat est très difficile. Tous les matchs sont importants et nous livrent des scénarios auxquels on ne s'attend pas forcément. On a disputé un quart de finale contre le Stade français, on est en demie contre Grenoble et c'est le champion (Castres) qui nous attend pour la finale (le 3 mai). Il ne faut pas se poser dix mille questions. On ne se les pose d'ailleurs pas. C'est le rôle, logique, de la presse. Pas le nôtre.

La prestation contre le Stade français est-elle de nature à vous rassurer ?

C.L: Oui. La semaine de travail a été bonne. Mais elle l'avait été aussi avant Paris. Pour autant, ça ne donne pas 100% de certitudes. Cette semaine, c'est la même chose. Les conditions ont été remplies. Pourtant, ce n'est pas un élément suffisant pour être assuré d'une victoire. Bastien (Fuster) et Julien (Puricelli) reviennent dans le groupe élargi. Mais on ne va pas tout bouleverser. Est-ce que vous voyez des équipes en phases finales effectuer beaucoup de rotations ? En général, il n'y a que quelques retouches. Une équipe qui gagne, on y touche très peu.

Christian Lanta - bayonne - 2 novembre 2013
Christian Lanta - bayonne - 2 novembre 2013
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