Vosloo: "Les deux derniers mois s’annoncent fantastiques"

Par Rugbyrama
  • Gerhard VOSLOO - clermont mont-de-marsan - 16 fevrier 2013
    Gerhard VOSLOO - clermont mont-de-marsan - 16 fevrier 2013
Publié le Mis à jour
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De retour sur les terrains depuis un mois, le flanker sud-africain Gerhard Vosloo retrouve petit à petit son niveau de jeu. Et se tient prêt pour une fin de saison clermontoise alléchante...

Vous avez pu profiter d’une semaine de repos la semaine dernière. Une semaine consacrée à la récupération?

Gerhard VOSLOO: Oui, pas mal de récupération, mais aussi quelques séances de physique et de musculation. Je ne suis pas parti avec le groupe à Grenoble. Du coup, vendredi, j’avais une séance supplémentaire. Je bosse dur mais cela paye. Je me sens de mieux en mieux.

Vous confiez dans Midi Olympique, il y a un mois, toujours ressentir quelques douleurs au bassin, que vous vous étiez fracturé en octobre dernier. Est-ce toujours le cas aujourd’hui ?

G.V.: Cela va vraiment mieux de semaine en semaine. Aujourd’hui, tout a quasiment disparu. Comme je le disais, je me sens bien.

La rencontre qui se profile au Stade français est-elle décisive dans l’optique d’une qualification directe pour les demi-finales?

G.V.: On est dans la dernière ligne droite et la fin de saison qui arrive s’annonce particulièrement chargée. Dans ce contexte, tous les matchs sont importants. Chaque point. On va chercher un résultat au Stade français pour bien lancer cette période décisive.

Justement, la première échéance capitale pour le club arrive dans un mois, avec le quart de finale de H Cup, à domicile face à Montpellier. Est-ce compliqué de ne pas commencer à se projeter?

G.V.: Forcément un peu. Avant cela, il y a des matchs très importants et on ne veut surtout pas passer à côté. Comme je le disais, chaque point compte. Après, c’est sûr, ce match est déjà dans un coin de nos têtes. C’est un rendez-vous extrêmement important pour tout le club, les joueurs comme les supporters. On joue avant tout pour eux ! Alors on y pense, on veut le préparer comme il faut. Mais la préoccupation principale, pour l’instant, c’est le Stade français.

Sur un plan personnel et aussi surprenant que cela puisse paraître, vous n’avez jamais disputé de match de phases finales dans votre carrière professionnelle...

G.V.: C’est vrai, je n’ai jamais eu ce bonheur. Cela fait sept ans que je suis en France et je suis toujours passé à côté. Je suis venu ici, à Clermont, aussi pour cela. Les deux derniers mois s’annoncent fantastiques. Je veux être prêt et je ne travaille que pour cela.

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