Paillaugue: "Je les voyais mal nous laisser tomber"

Par Rugbyrama
  • Paillaugue - Montpellier - 2 mars 2012
    Paillaugue - Montpellier - 2 mars 2012
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Le demi de mêlée héraultais, Benoit Paillaugue, n’avait pas pu jouer le terrible match de barrage face à Castres en mai dernier pour cause de blessure au genou droit. Toujours en rééducation à Capbreton, il revient sur une semaine mouvementée pour le club qui n’est pas passé loin du dépôt de bilan.

Comment s’est passée cette reprise ?

Benoit PAILLAUGUE: Pour le moment, je suis toujours en rééducation au Cers de Capbreton pour soigner mon genou. Je suis donc encore coupé du monde pour une semaine. Depuis trois semaines, je prépare mon retour. Pour l’instant, c’est renforcement musculaire et préparation physique. Mais les échos que j’ai sur la reprise du groupe sont plutôt bons. Les nouveaux coachs se sont présentés aux joueurs et ils ont fait une première batterie de tests avant la reprise des entraînements.

Comment avez-vous vécu cette fin de saison et la défaite en barrage ?

B.P: A titre personnel, j’étais déçu de ne pas pouvoir jouer à cause de ma blessure… Et puis c’est une déception partagée avec le reste de l’équipe, car on est tout simplement passé à côté de ce match. Il faut dire qu’en plus, on avait en face de nous des Castrais très revanchards, qu’on avait battu sur leur pelouse l’année dernière. Tout le monde était donc déçu de cette fin de championnat.

Quels sont les objectifs de cette saison ?

B.P: Pour le moment, nous n’avons encore rien défini comme objectif pour la saison qui commence. Le premier match est prévu pour le mois d’août. Cela nous laisse du temps pour préparer tout cela et reprendre tranquillement.

Montpellier sort d’une période quelque peu perturbée en coulisses. Comment l’avez-vous vécue ?

B.P: Pour être franc, on n’en a pas vraiment parlé entre joueurs. Personnellement, je connais la passion et la motivation de nos dirigeants. Je les voyais mal nous laisser tomber. C’est pourquoi j’ai suivi cette affaire de loin. On avait d’ailleurs comme seules informations ce qui sortait dans la presse. Mais cela ne m’inquiétait pas plus que cela.

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