Laharrague: "Grenoble, la meilleure solution pour moi"

Par Rugbyrama
  • Nicolas Laharrague - perpignan - aout 2011
    Nicolas Laharrague - perpignan - aout 2011
Publié le Mis à jour
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Après 10 ans passés à Perpignan, l’ouvreur Nicolas Laharrague a rejoint les champions de France de Pro D2 grenoblois, pour une saison en Top 14. Les dirigeants du club isérois comptent sur l’expérience du joueur pour faire la différence lors d’une saison qui s’annonce plutôt corsée.

Comment s’est passé votre arrivée à Grenoble?

Nicolas LAHARRAGUE: J’ai été vraiment bien accueilli, à la fois par les dirigeants, le staff et les joueurs. Il y a une très bonne ambiance dans ce club. Toutes les recrues se sont tout de suite senties bien. J’avais un peu d’appréhension après dix années passées dans le même club… Mais elle est s’est très vite dissipée! Il y avait une très bonne humeur et beaucoup de courtoisie dès le premier jour. Ça facilite les choses!

Qu’est ce qui vous a marqué le plus en arrivant dans ce nouveau club?

N.L.: Dès la présentation du staff, j’ai remarqué que le club avait vraiment envie de mettre toutes les chances de son côté. Cela m’a surpris sur le coup. Trois préparateurs physiques et plusieurs entraîneurs à plein temps, il n’y avait pas cela à Perpignan. Du coup, on comprend tout de suite qu’ils se donnent les moyens de leurs ambitions. J’ai été surpris de voir autant de professionnalisme.

Pourquoi avoir choisi Grenoble?

N.L.: C’était tout simplement la meilleure solution pour moi. Mon départ de Perpignan s’est fait au dernier moment, le 15 juin, le temps de trouver un accord à l’amiable. Le FCG est le seul à ne pas m’avoir mis la pression pour signer tout de suite. Les dirigeants m’ont laissé le temps de réfléchir. J’avais l’impression qu’ils me voulaient vraiment.

Comment appréhendez-vous la saison qui vient ?

N.L.: C’est un gros challenge personnel et surtout pour le club. Celui-ci part cependant avec un très gros avantage. Celui d’être champion de France de Pro D2 et d’avoir un collectif paré pour jouer en Top 14. Je pense réellement qu’on a les moyens de relever le défi, notamment après avoir agrandi le staff.

Vous n’avez aucun regret de quitter Perpignan après y avoir passé 10 ans?

N.L.: Des regrets, non. Un peu de nostalgie, puisque j’y ai quand même passé de grands moments. Ça marque. Mais pour être honnête, je n’ai pas le temps d’y penser à cause des entraînements. Le club attend des nouveaux joueurs, qui comme moi sont déjà passés par le Top 14, qu’ils partagent leur expérience. On apporte notre pierre à l’édifice en quelque sorte, en étant le plus "pro" possible.

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