"Ce qui m'impressionne le plus chez lui : son leadership" : le Top des déclas du week-end

Par Rugbyrama
  • Top 14 - Matthieu Jalibert (Union Bordeaux-Bègles)
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Publié le Mis à jour
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La défaite d'Agen, la réaction au plaquage de Raisuqe ou encore la suspension de la Coupe d'Europe… Voici le top des déclas du week-end.

C’est inadmissible de lâcher un match comme ça

Le demi-de-mêlée Agenais Paul Abadie digère mal cette nouvelle défaite face à Castres : "On a manqué de maîtrise et c’est sûrement mental car cela fait maintenant trois matches que nous prenons le score après une bonne entame avant de céder. On se pose trop de questions. Il nous faut travailler mentalement, mais c’est vrai que c’est inadmissible de lâcher un match comme ça."

Ce qui m’impressionne le plus chez lui : son leadership

Dans une interview pour le midi olympique, en prévision de l’annonce des prochains sélectionnés pour le Tournoi des 6 Nations, Matthieu Jalibert a déclaré considérer Owen Farrell comme un modèle : "Oui, c’est un modèle. Comme d’autres mais j’apprécie vraiment Farrell. Sur le plan technique, il est au-dessus de la moyenne par ses passes, son jeu pied tactique. C’est aussi un très bon défenseur. Mais c’est surtout sa mentalité et l’emprise qu’il exerce sur son équipe qui m’impressionnent. Ce qui m’impressionne le plus chez lui : son leadership. C’est justement là-dessus que je dois progresser."

Je voudrais être dans ‘Dance avec les Stars’ avant d’accepter d’être levé comme ça.

L’arbitre gallois Nigel Owens a réagit de manière humoristique sur Twitter à l’action de Josaia Raisuqe qui a soulevé Laurent Millotte, l’arbitre de la rencontre qui opposait Béziers à Nevers, à la fin du match de Pro D2 : "Comme beaucoup d’entre vous se demandent ce que j’aurais fait dans cette situation. J’aurais sifflé et dit "Je voudrais être dans ‘Dance avec les Stars’ avant d’accepter d’être levé comme ça."

On nous empêche de jouer

Le président du Stade toulousain, Didier Lacroix, a dénoncé que l’État était le responsable des annulations des matchs de Coupe d’Europe des Clubs français : "C’est l’État qui – pour des raisons de sécurité et de santé – nous demande de ne pas jouer les matchs Européens et on comprend tout à fait. Mais c’est à l’État d’en faire le quoi qu’il en coûte économiquement et en terme d’organisation. On nous empêche de jouer de façon tout à fait légitime, mais il faut dire très clairement qui nous empêche de jouer : ce n’est pas nous qui n’avons pas envie de jouer."

Il faut qu’il y ait un champion d’Europe

Pierre Mignoni, manager de Lyon, s'est exprimé ce dimanche, suite à la suspension des compétitions Européennes jusqu'à nouvel ordre : "Il faut qu'il y ait un champion d'Europe. Ce sera peut-être un champion d'Europe un peu particulier. Mais quand tu joues un seizième de finale, un huitième, un quart, une demie et une finale, il y aura quand même de belles équipes ! Il y aura des matches de haut niveau et il faut les gagner. Donc le champion sera quand même valorisé. En tout cas, c'est mon avis."

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