XV de France : Baromètre (2)

Par Rugbyrama
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Les cinq matchs du tournoi ont forcément modifié la donne quant à la composition du groupe des 30 Tricolores pour la Coupe du monde. Certains ont marqué des points, d'autres ont perdu gros. Deuxième partie de ce tour d'horizon avec les avants.

EN HAUSSE

Lionel Nallet (Castres)
Le Castrais est entré de plein fouet dans la brèche entrouverte par les absences sur blessure de Pelous et Papé. Infatigable, il est un vrai stakhanoviste du plaquage.

Serge Betsen (Biarritz)
Il a mis le temps qu'il fallait pour revenir à son meilleur niveau après sa blessure au plancher orbital. Mais voilà, la faucheuse est de retour et c'est tant mieux !

Raphaël Ibanez (Wasps)
Comme le Zidane national, Ibanez est sorti de sa retraite pour guider l'équipe de France. La maturité a du bon surtout quand le capitaine s'échappe. Et s'il faisait mieux que Zizou ?

Imanol Harinordoquy (Biarritz)
Annoncé "aux fraises", le vice-capitaine des Bleus lors du Mondial 2003 revient au bon moment sur le devant de la scène. Avec Chabal et Vermeulen, Harinordoquy est un troisième ligne centre sur lequel Laporte pourra s'appuyer.

EN BAISSE

Fabien Pelous (Stade toulousain)
"Comment dire à Beauxis et Skrela poussez-vous Michalak arrive," a déclaré Bernard Laporte au moment du bilan du Tournoi. Comment dire à Nallet et Thion, poussez-vous Pelous arrive ? a-t-on envie de demander à notre tour...

Grégory Lamboley (Stade toulousain)
Le match des Barbarians ne lui a pas permis de s'exprimer. Et vu la concurrence qui sévit aux postes (deuxième ou troisième ligne) qu'il truste&hellip il devra s'appuyer sur sa polyvalence pour remonter.

Thierry Dusautoir (Stade toulousain)
On attend le Toulousain au niveau international depuis plus d'un an maintenant. Las, il n'a pas eu l'occasion encore une fois de montrer ce qu'il sait faire en club.

Yannick Nyanga (Stade toulousain)
Encore un troisième ligne toulousain victime de la concurrence. Blessé au dessus du genou face à Paris, il a mis du temps à recouvrer ses moyens. Pendant ce temps...

Dimitri Szarzewski (Stade français)
Touché à l'épaule dès son entrée en jeu face aux Italiens, Szarzewski a enchaîné les mauvais lancés... Opéré dans la foulée, il a pu voir son capitaine Ibanez truster les premières places et offrir à Bruno et August des miettes de temps de jeu.

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