Les résultats des analyses toxicologiques pratiquées sur Christophe Dominici sont connus
Une demande d'analyse toxicologique avait été émise par le parquet de Nanterre, qui avait ouvert une enquête pour "recherche des causes de la mort" suite au décès brutal de Christophe Dominici. L'Equipe en révèle le contenu. Elles ne feraient apparaître "aucune trace de produit stupéfiant ou d'alcool". En revanche, les enquêteurs travailleraient sur la possibilité d'une "bouffée délirante".
Selon le quotidien sportif, qui cite une source proche de l'enquête, "aucune trace de stupéfiants, ni d'alcool, ni de médicaments en dose élevée n'a été relevée dans son sang. Des traces de médicaments, mais en concentration peu élevée, ont été retrouvées."
Toutefois, ce rapport préciserait que le joueur avait été pris d'une bouffée délirante, quelques jours avant son décès, en raison d'un manque de sommeil.
Pendant l'été, des suites de l'épisode de la reprise avortée du club de Béziers, Dominici avait dû séjourner en maison de repos, en proche banlieue parisienne, où il s'était vu diagnostiquer un état dépressif.
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