Reportage : Barbarians, c’était le rêve américain

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INTERNATIONAL - Battus de peu par une sélection des Etats-Unis qui préparait son barrage de qualification au Mondial, malgré une dernière demi-heure qui aurait pu (ou dû) leur offrir une meilleure issue, les Baa-Baas sont encore sortis grandis de leur périple au Texas.

Jeudi, en fin de matinée, les joueurs étaient convoqués pour une (très) brève séance vidéo – durant laquelle l’entraîneur Christian Labit a surtout insisté sur la puissance d’un deuxième ligne américain - ponctuée par la remise de la légendaire cravate des Barbarians des mains de Laurent Pardo.

Ce dernier a d’abord appelé Pierre Aguillon, lequel a gravé sur sa peau ce qu’est l’esprit de cette équipe dont il fut déjà membre par le passé. Il a alors prononcé ces mots : "Lui, il l’a en tatouage. Mais cette philosophie, on l’a tous dans le cœur depuis nos huit ou dix ans. Les Baa-Baas, c’est à la fois notre bonheur et notre rêve. Certes, le rugby est devenu professionnel mais cela doit perdurer. C’est important et c’est à vous de le transmettre aujourd’hui."

Plus qu’une mission, un devoir. Dont chacun a cherché à être digne une semaine durant, dans la joie et la très bonne humeur. Une poignée de jours, à peine trois entraînements (dont un en slip de bain en bord de plage) et quelques touchers pour créer un groupe capable de rivaliser avec une sélection nationale américaine qui, sur ses terres, préparait son barrage aller-retour de qualification à la Coupe du monde 2023.

Retrouvez l'intégralité du reportage sur Midi-Olympique.fr

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