L'Ecosse a fait le plein de confiance avant d'affronter la France

Par Rugbyrama
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Publié le Mis à jour
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RUGBY - A une semaine de défier les Bleus à Paris, les Ecossais de Vern Cotter ont remporté un succès probant ce samedi contre des Italiens dépassés (48-7).

L'Ecosse a fait le plein de confiance avant la Coupe du monde en s'offrant une victoire record 48-7 (mi-temps: 23-7) contre l'Italie, samedi en match de préparation à Murrayfield. Le calvaire continue donc pour la Squadra Azzurra, qui avait déjà été battue à Turin il y a une semaine (16-12) et a cette fois-ci encaissé six essais alors qu'il lui reste à affronter le pays de Galles dans une semaine avant son entrée dans le tournoi contre la France le 19 septembre. Dominée en mêlée et en touche avec seulement six joueurs maintenus à leur poste, l'Italie n'a pu rééditer son exploit de février lors du Tournoi des six nations et a rapidement pris l'eau de toute part.

L'essai de John Barclay - 29 août 2015
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L'Italie peu inspirée

Avant d'inscrire un doublé (61) qui a transformé la défaite en déroute, Lamont avait franchi la ligne dès la 8e minute. Un "exploit" qu'ont également réalisé Barclay (38), Visser (47, 71) et Bennett (79) au sein d'un XV du Chardon qui continue une préparation intéressante avec un visage proche de ce qu'il a de mieux à proposer actuellement. A l'ouverture, le capitaine Laidlaw a inscrit 18 points au pied. Les Ecossais, opposés maintenant dans une semaine à la France avant de débuter contre le Japon, n'avaient plus été à pareille fête contre l'Italie depuis le 47-15 d'août 2003.

En face, quand elle a été en position d'avantage, l'Italie a manqué d'inspiration et seule une penaltouche bien exploitée a permis à Campagnaro d'aplatir (29). Avec les deux points de la conversion et un bilan de 100% au pied, Allan n'a pas vraiment eu l'occasion de briller. Après son large revers contre l'Irlande et ses deux succès face à la Georgie et l'Uruguay, le bilan de l'Italie depuis juin redevient négatif et cela n'a rien de rassurant pour l'équipe de Jacques Brunel qui, à la différence de son homologue Vern Cotter, connaît une phase préparatoire très compliquée.

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