Vers un record de points à Twickenham et un score serré à Murrayfield ?

Par Rugbyrama
  • Owen Farrell (Angleterre) - 14 février 2016
    Owen Farrell (Angleterre) - 14 février 2016
  • Fin Russell (Écosse) - février 2017
    Fin Russell (Écosse) - février 2017
  • Edoardo Gori (Italie) - 5 février 2017
    Edoardo Gori (Italie) - 5 février 2017
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6 NATIONS - Outre le match Irlande - France, la 3e journée du Tournoi verra un match indécis au possible entre l'Ecosse et le pays de Galles et une rencontre déséquilibrée entre l'Angleterre et l'Italie.

L'Ecosse, malgré la perte de son capitaine Greig Laidlaw, accueille le pays de Galles pour un duel indécis, au contraire de celui entre l'impériale Angleterre et la faible Italie, giflée lors des deux premières journées du Tournoi des six nations. Avec un succès pour un revers, Ecossais et Gallois sont à égalité (5 points) et une bataille alléchante s'annonce à Murrayfield samedi (15h25).

En plus de son demi de mêlée, sorti blessé lors de la défaite contre la France (22-16) et qui laisse le capitanat au troisième ligne aile John Barclay, l'Ecosse doit se passer de son troisième ligne centre Josh Strauss, lui aussi blessé à Paris, et de son ailier Sean Maitland. Trois coups durs pour Vern Cotter, qui a positivé en rappelant que les siens étaient toujours dans la course pour le titre.

Fin Russell (Écosse) - février 2017
Fin Russell (Écosse) - février 2017

Les Gallois enregistrent le retour de leur ailier George North, blessé contre l'Angleterre, et positivent eux aussi après la frustrante défaite (16-21) face au XV de la Rose. En termes d'intensité et de performance, nous avons franchi un palier contre l'Angleterre. Nous devons maintenant en tirer le positif et appliquer cela pendant 80 minutes contre l'Ecosse, a déclaré le sélectionneur Rob Howley.

O'Shea parle de s'imposer en Angleterre

A Twickenham dimanche (16h00), peu parieront en revanche sur un score serré entre l'équipe d'Eddie Jones, seule équipe encore invaincue, et une Italie catastrophique jusqu'ici. En deux rencontres à domicile, les Italiens ont sombré face aux Gallois (7-33) et l'Irlande (10-63) et l'on peut donc logiquement s'attendre à un écart d'une proportion similaire. Donnez-nous du temps. Nous avons tellement de talent à disposition et de gens formidables dans ce groupe. J'y crois plus que jamais, a répété mercredi Conor O'Shea, l'entraîneur irlandais d'Azzurri à la peine dans le combat physique.

Edoardo Gori (Italie) - 5 février 2017
Edoardo Gori (Italie) - 5 février 2017

Avec un réservoir de joueurs de haut niveau limité et des athlètes qui peinent à tenir le rythme au-delà de 50 ou 60 minutes, le pire est à craindre dans le temple du rugby anglais. Pourtant, O'Shea parle d'y imposer ! Je n'ai pas préparé ce match contre l'Angleterre pour perdre avec dignité mais pour gagner. Que ça soit bien clair, a-t-il osé. J'ai une absolue confiance dans ces joueurs et dans le fait que nous allons bâtir un superbe groupe pour cette sélection.

En pleine confiance après des fins de match heureuses face à la France (19-16) et au pays de Galles, les Anglais ont certainement souri à la lecture de ses propos. Avec une 17e victoire d'affilée, le XV de la Rose se rapprocherait du record des Néo-Zélandais établi à l'automne (18). Et d'un second Grand Chelem consécutif.

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