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Le Stade rochelais est au complet et paré pour le sprint final !

Par Romain Asselin
  • Pierre Bourgarit lors d'un match face à Montpellier.
    Pierre Bourgarit lors d'un match face à Montpellier. Icon Sport - Icon Sport
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Privé l’an passé de tauliers, le staff rochelais a cette fois le choix du roi pour composer son meilleur groupe à l’heure des phases finales.

Une infirmerie quasiment vide après trente-quatre rencontres et à deux marches d’un retentissant doublé ! Non, vous ne rêvez pas. C’est un fait qui, décortiqué, en dit long sur l’efficience du staff médical du double champion d’Europe. Déjà relativement peu fournie au printemps 2022 - à cela près que La Rochelle avait dû batailler sans Victor Vito ni Tawera Kerr-Barlow dès la finale de Champions Cup - la liste des blessés maritimes est encore bien davantage réduite à peau de chagrin dans la dernière ligne droite de cette saison où Ronan O’Gara et ses hommes veulent tout rafler.

Si Tanga-Mangene a subi une torsion à une cheville lors de la récente réception du Stade français, Thomas (mollet) et Haddad (cheville) peaufinent leur reprise et tout le reste des troupes est bel et bien opérationnel pour partir à l’abordage du Brennus. À commencer par les vingt-trois alignés en finale de Champions Cup, le 20 mai. Dont certains - Atonio (genou), Botia (doigt), Seuteni (épaule) et Skelton (genou) - ont mis à profit les deux précédentes semaines sans match pour soigner les pépins de Dublin. Quand, dans le même temps, Colombe a reçu le feu vert du neurologue pour postuler à Saint-Sébastien, suite à la commotion subie face au Leinster et dont le pilier raconte les coulisses dans un entretien à retrouver sur Rugbyrama.fr.

Frais comme des gardons

Quand bien même certains poussent fort pour en être, c’est un secret de polichinelle, le groupe de vingt-trois amené à fouler la pelouse d’Anoeta sera le même qu’à l’Aviva Stadium. À moins que le staff ne casse son désormais traditionnel 6-2 sur le banc pour y greffer un trois-quarts comme l’étincelant Hugo Reus. Quoi qu’il en soit, qu’importe la débauche d’énergie pour reverser le Leinster, c’est une équipe bien moins essoufflée que l’an passé qui part à la conquête du doublé. Jugez plutôt. Capitaine Alldritt ? Cinq titularisations sur les dix derniers matchs de la Rochelle depuis la fin du Tournoi des 6 Nations. Bourgarit ? Six cents minutes de moins au compteur, au même stade de la saison ! Pour ne citer qu’eux…

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