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Top 14 - À Brive, toujours les mêmes maux…

  • Face au Racing 92, le CAB a subi une quatrième défaite de suite glissant de fait à la dernière place de ce Top 14.
    Face au Racing 92, le CAB a subi une quatrième défaite de suite glissant de fait à la dernière place de ce Top 14. Icon Sport - Icon Sport
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Face au Racing 92, le CAB a subi une quatrième défaite de suite glissant de fait à la dernière place de ce Top 14. La faute à des erreurs qui font mal aux Brivistes depuis le début de saison.

Après trois lourdes défaites, le CAB voulait se rassurer à domicile face au Racing 92. Loupé. Pire, à dix minutes du terme les Brivistes subissaient un nouveau lourd revers (17-43) et des sifflets commençaient à descendre des travées du Stadium. Car une nouvelle fois, les hommes d’Arnaud Mela ont failli dans des secteurs clés, des secteurs dans lesquels ils sont défaillants depuis le début du championnat. « On peut avoir des regrets sur la première période et l’entame de la seconde, sur ce mal récurrent de ne pas faire de bonnes sorties de camp, de ne pas trouver des touches sur les pénalités. Quand on arrêtera de donner, on pourra espérer autre chose », pestait le nouvel entraîneur en chef. « Ce qui nous fait défaut depuis le début de saison, ce sont ces pertes de balles… Il faut que l’on soit plus précis, plus concentrés pendant 80 minutes. On fait des erreurs de cadets sur les coups d’envoi où on prend des essais comme c’était déjà le cas contre Toulouse, ce n’est pas possible ! Les interceptions nous font encore très mal… Celle d’Imhoff (sur l’essai de Baudonne) est le tournant du match, alors que nous sommes sur un temps fort, ils nous crucifient. Il faut gommer ces erreurs, sinon nous n’arriverons pas à regagner… », livrait, lucide, le troisième ligne et capitaine, Esteban Abadie.

« Si on doit mourir, on le fera en jouant au rugby »

Et pourtant, les Brivistes n’échouent qu’à cinq petits points des Franciliens après dix minutes de folie où le CAB s’est libéré, s’est lâché, remettant le public corrézien dans sa poche. Dans le sillage d’un Lobzhanidze inspiré, un trio d’arrières (Jurand-Muller-Ferté) aux pattes de feu, les Brivistes ont inscrit trois essais, allant chercher le bonus défensif sur la sirène. « La bonne chose, c’est l’état d’esprit. On est décroché de vingt-cinq points, les joueurs sont cuits, mais ils ont continué pour aller chercher ce point de bonus. Si on doit mourir, on le fera en jouant au rugby , concluait Arnaud Mela.

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