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Colomiers à l’épreuve du feu cantalien

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Les haut-garonnais sont attendus de pied ferme dans le cantal. L’occasion est toute trouvée pour se prouver ce qu’ils ont dans le ventre.

Que les semaines se suivent et ne se ressemblent pas. C’est tout le mal qu’il faut souhaiter aux Columérins, dans ce début de saison au contexte particulier. Où il faut faire preuve d’adaptation permanente, et disposer d’un certain facteur chance. "Nous savions avant le coup d’envoi de la saison qu’il y aurait des impondérables, des choses qu’on ne maîtrise pas et qu’on ne peut pas maîtriser. Il y a un match en moins, qui entraîne un manque de compétition. Mais je le répète, nous n’avons pas d’excuses. Je n’ai pas envie de pleurer sur notre sort", déclarait mardi sans fatalisme Julien Sarraute. Il faudra de toute façon réagir à Jean-Alric alors que le chemin emprunté est à nouveau très escarpé. " Aurillac a étouffé un candidat à la montée en se montrant très performant et même séduisant avec un état d’esprit fabuleux, un rugby généreux et enthousiaste, fort sur les bases. Il faut voir si nous sommes capables de nous hisser à ce niveau-là, voir ce qu’on a dans le ventre", prévient Sarraute.

Travailler et apprendre vite

Après leur première sortie ratée, les Columérins ont bien eu le temps de ruminer. Et même si tout ne fut pas à jeter à Valence-Romans, le nouveau capitaine en l’absence d’Aurélien Béco, Edoardo Gori espère avec ses coéquipiers régler toutes les imperfections déjà apparues. À savoir, outre un huit de devant mis sous pression permanente et dominé, "une mauvaise gestion tactique sur le jeu au pied et sur les sorties de camp. Le problème c’est que tout le monde a voulu faire quelque chose en plus pour faire bien mais c’était des initiatives individuelles. Nous nous sommes trompés et nous n’avons pas travaillé en équipe. Ça peut arriver, pour moi c’est un simple accident de parcours. À croire que nous avons été trop bien habitués la saison passée…", analyse dans un français de plus en plus fluide le demi de mêlée. Ce n’est pas l’heure pourtant de céder à un quelconque catastrophisme. "Cette première défaite, ce n’est pas un coup sur la tête. Il ne faut pas penser comme cela, nous devons travailler et montrer que nous n’avons rien perdu de nos qualités", tonne Gori. Même son de cloche pour Julien Sarraute qui espère que les siens "avancent ainsi. Cela ne doit pas nous inhiber ou nous faire perdre confiance dans notre jeu. Chaque match est un apprentissage."

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