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Poirot : «Se remettre au boulot»

Par midi olympique
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    Poirot : «Se remettre au boulot»
Publié le Mis à jour
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Le pilier de l’Union Bordeaux-Bègles, Jefferson Poirot, actuellement blessé, a accepté d’évoquer le situation de son club. En difficultés après une nouvelle défaite à La Rochelle, il estime que rien n’est perdu.

Jefferson, l’UBB s’est de nouveau inclinée samedi soir à La Rochelle. C’est une nouvelle grosse désillusion...

Oui, c’est une déception même si nous ne sommes pas les seuls à avoir perdu là-bas. C’est sûr que cela nous aurait aidé d'y gagner après nos deux défaites à domicile d’affilée.

C'est encore plus dur pour vous, blessé et devant la télé...

C’est certain que c’est difficile. Surtout que je me suis blessé lors de la série de deux défaites à domicile.

Pour la deuxième saison consécutive, on a l’impression que le même scénario se répète pour l’UBB. Un bon début de saison mais une difficulté à aller chercher les phases finales. Comment l’expliquez-vous ?

Je ne sais pas, c’est vrai que c’est étonnant. Pourtant, on se sent bien physiquement, on travaille bien. Lors de mes deux premières années à Bordeaux, c’était à ce moment de la saison que l’on commençait à enchaîner les victoires, à respirer au classement. Depuis deux saisons, le scénario est inversé. Les équipes que l’on rencontre montent en puissance. On a été plutôt régulier cette saison mais, maintenant, on affronte des grosses cylindrées. Et pour le moment, contre ces grosses équipes, on est incapable de gagner.

Du fait du scénario de la fin de saison dernière, la peur et le doute peuvent-ils s’installer dans le groupe ?

Non, je ne pense pas. La déception de la saison dernière est digérée. On a un groupe différent, ce n’est plus trop dans nos têtes. Il faut se remettre au boulot et gagner des matchs.

Lors de la prochaine journée vous recevez le Stade Français. Puis, il vous restera de gros matchs contre Montpellier et Toulon. C’est un calendrier compliqué qui pourrait vous faire manquer le Top 6...

Il faut y croire. C’est un peu le scénario de l’an dernier, où l’on était descendus jusqu’à la neuvième place avant de se réveiller et de se mêler à la lutte. On n'y a peut être pas assez cru. On ne se qualifie pas pour une pénalité. Mais il faut continuer à y croire. Tant que l’on a pas joué les matchs, jusqu’à preuve du contraire, on est toujours dans la course.

Quand allons-nous vous revoir sur les terrains ?

Je vais revenir pour les deux derniers matchs de championnat contre Brive et à Toulon. Propos recueillis par Kevin Saccani

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