Les choses sérieuses ont repris

  • Fofana - Entraînement XV de France - Novembre 2013
    Fofana - Entraînement XV de France - Novembre 2013
Publié le Mis à jour
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Malgré le froid, le groupe France se montrait appliqué pour l’unique séance à 15 contre 15 de la semaine ce mardi, qui laissait transparaître quelques indices sur le XV de départ contre l'Afrique du Sud.

Après deux jours axés essentiellement sur la récupération, les choses sérieuses ont commencé pour le groupe France. Avec une petite demi-heure de retard sur le planning, pour la dernière fois de ce mois de novembre, les Bleus ont eu le droit à une séance terrain de 45 minutes à 30. Après un travail par atelier sur les qualités de libération des ballons sur jeu au sol, Philippe Saint-André distribuait les chasubles rouges. Les Français allaient travailler à 15 contre 15.

Le sélectionneur prenait soin visiblement de chercher à brouiller les cartes pour les journalistes et les quelques spectateurs présent, dont l’entraîneur du PSG Handball, Philippe Gardent. Ainsi, au départ, on trouvait de chaque côté des titulaires partants certains pour le match face aux Boks. Chez les rouges, Dusautoir, Papé, Fofana. Chez les sans chasubles Parra, Fritz. On remarquait aussi dans cette formation, le Clermontois Vincent Debaty qui se positionnait bizarrement ailier. Forestier et Domingo étant les piliers gauches des deux groupes. Un indice pour samedi ?

Alerte pour Bastareaud

PSA donnait de la voix pour stopper les actions et procéder aux changements à chaque arrêt de jeu. Sur une action anodine, après une combinaison sur mêlée, Mathieu Bastareaud se faisait mal à la cheville. Le médecin Jean-Baptiste Grisoli accourait vers lui. Après quelques secondes, le Toulonnais se relevait et reprenait sa place. D’ailleurs on remarquait que toute la fin de la séance, il officiait au centre avec Florian Fritz, Wesley Fofana étant positionné à l’aile.

A l’issue de l’opposition, le sélectionneur réunissait ses ouailles sur la ligne des 22 mètres pour un court briefing. Les caméras étaient priées de s’éteindre, les gros pouvaient travailler leur réception de coups d’envoi à l’abri des objectifs.

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