Etcheto : "J’ai pris une claque à mon enthousiasme"

  • Vincent Etcheto (Bayonne)
    Vincent Etcheto (Bayonne)
  • Jean-Jo Marmouyet (Bayonne) - 8 octobre 2016
    Jean-Jo Marmouyet (Bayonne) - 8 octobre 2016
Publié le Mis à jour
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TOP 14 - La défaite à zéro point à Grenoble (44-16) a été mal vécue par Vincent Etcheto. S’il dit que ce dimanche va lui faire du bien pour repartir de l’avant dès lundi, le manager d’un Aviron bayonnais désormais lanterne rouge du Top 14 ne cachait pas son inquiétude samedi soir devant les médias.

Après vingt bonnes minutes, où il menait 9-3 au stade des Alpes, Bayonne a petit à petit cédé face aux Grenoblois. Ce soir (samedi), le constat est clair et net : on est devant logiquement sur le début du match et après on a une conquête défaillante. On n’a pas de ballon en touche, on est battu en mêlée, on est beaucoup pénalisés, le peu d’actions qu’on mène on perd des ballons, a expliqué Vincent Etcheto.

Pour l’instant, on n’est pas invités, c'est-à-dire qu’on espérait pouvoir lutter, faire un résultat ici en prenant au moins un point de bonus. On ne l’a pas fait. On est loin du but recherché. Pour arriver à m’enlever mon enthousiasme, il faut se lever tôt. Ce soir, j’ai pris une claque à mon enthousiasme. Le dimanche en famille va faire du bien et on va revenir lundi sachant qu’il y a cette Coupe d’Europe. On va se ressourcer, faire le bilan de ce début de championnat. Il faut réagir. Là, je suis abattu ce soir mais je vous promets que ça ne durera pas.

Jean-Jo Marmouyet (Bayonne) - 8 octobre 2016
Jean-Jo Marmouyet (Bayonne) - 8 octobre 2016

Le manager bayonnais a ensuite ironisé sur le rôle de Bayonne, qui relance les équipes adverses en difficulté. On l’avait fait à Pau, on avait relancé Pau, on avait relancé Bordeaux qui n’était pas bien, où on avait fait un non match, et puis là on relance Grenoble. On relance, ça fait partie de notre philosophie de jeu. On relance aussi nos adversaires, ça c’est moins drôle. On va réfléchir aux possibilités que l’on a mais elles ne sont pas énormes. Il va falloir s’y filer, bosser et essayer de remettre notre rugby en place.

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