Grenoble, Macalou, Clermont, bagarre... Nos Tops et Flops de la 8e journée

  • Tops et Flops 8e journée Top 14
    Tops et Flops 8e journée Top 14
  • Sona Taumalolo (Grenoble)
    Sona Taumalolo (Grenoble)
  • Sekou Macalou (Stade français) - 8 octobre 2016
    Sekou Macalou (Stade français) - 8 octobre 2016
  • Tom Taylor (Pau) - septembre 2016
    Tom Taylor (Pau) - septembre 2016
  • Bayonne est dernier du Top 14
    Bayonne est dernier du Top 14
  • La mêlée de Clermont a souffert contre Toulouse - 8 octobre 2016
    La mêlée de Clermont a souffert contre Toulouse - 8 octobre 2016
Publié le Mis à jour
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TOP 14 - Grenoble n'est plus lanterne rouge alors que Bayonne coule. Macalou et Taylor ont régalé tandis que Clermont et Pau ont sombré en mêlée fermée. Sans oublier un Montpellier-Castres tendu... Nos Tops et Flops de la 8e journée.

Les Tops

  • Grenoble

C’était le match de la peur. Celui où Grenoble n’avait vraiment pas le droit à l’erreur. Pas épargné par les blessés et absences, le FCG a su faire front. Et de quelle manière ! Son succès contre Bayonne, c’est un gros coup de force (44-16). Glaner le bonus offensif, c’est une opération plus que parfaite d’un point de vue comptable mais aussi psychologique. Cela va clairement relancer la machine iséroise qui avait besoin d’un déclic et en même temps, Bayonne a pris un énorme coup derrière la tête.

Sona Taumalolo (Grenoble)
Sona Taumalolo (Grenoble)
  • Macalou (Stade français)

Quel potentiel ! Un vrai diamant. Qui ne demande qu’à être poli. Samedi, Sekou Macalou a éclaboussé le derby francilien de toute sa classe. 13 courses ballon en mains, 2 franchissements, 6 défenseurs battus (avec une action mémorable sur Masoe), le troisième ligne du Stade français a montré toute sa palette. Reste plus qu’à confirmer. Il ne demande sûrement que ça. Et à jouer peut-être un peu plus...

Sekou Macalou (Stade français) - 8 octobre 2016
Sekou Macalou (Stade français) - 8 octobre 2016
  • Taylor (Pau)

Ce n’est pas une nouveauté mais le Top 14 regorge de sacrés canonniers. Parra (7/7), Bosch (8/8) et Laranjeira (6/6) ont tous rendu une copie parfaite face aux perches. Le Palois Tom Taylor n’a pas été en reste : son 6/6 a grandement contribué au gain du bonus défensif sur le terrain de Lyon. Mieux, il a poursuivi son excellente série au pied : il reste en championnat sur 23 coups de pied réussis de suite.

Tom Taylor (Pau) - septembre 2016
Tom Taylor (Pau) - septembre 2016

Les Flops

  • La touche de Bayonne

Une faillite énorme. Samedi, la touche bayonnaise a totalement dérayé. Problème de communication, mauvais choix, sauteurs battus... tout y est passé. Sur 18 lancers, l’Aviron a perdu la bagatelle de huit munitions. Une aubaine pour Grenoble qui a capitalisé là-dessus pour priver les Basques de ballons et en parallèle faire gonfler le score en leur faveur, un match à oublier pour Bayonne, qui occupe la première fois de la saison la place de lanterne rouge. Après des débuts prometteurs, l’Aviron ne cesse de sombrer...

Bayonne est dernier du Top 14
Bayonne est dernier du Top 14
  • La mêlée de Pau et Clermont

Le point commun entre Pau et Clermont ? Une mêlée aux abois ce week-end. Pour les Béarnais, ce n’est vraiment pas une nouveauté puisque c’est clairement le secteur en grande difficulté. Contre Lyon, le pack palois était encore en mode "marche arrière". Le staff de la Section ne sait plus à quel Saint se vouer, espérant même un retour sur les terrains de l’entraîneur Carl Hayman. Clermont, de manière surprenante, a souffert le martyre face à Toulouse. A 7 reprises, le 8 de devant auvergnat a été pénalisé. Une énorme faillite collective que l’ASM devra corriger au plus vite avant le début de la campagne européenne.

La mêlée de Clermont a souffert contre Toulouse - 8 octobre 2016
La mêlée de Clermont a souffert contre Toulouse - 8 octobre 2016
  • La tension entre Montpellier et Castres

Le Montpellier-Castres de samedi a été chaud. Sans trop s’avancer, il doit rester un petit contentieux de la saison dernière et notamment du match de barrage qui s’était terminé dans la confusion la plus totale. Il n’a fallu qu’un petit quart d’heure pour que le feu soit mis aux poudres. Un plaquage malvenu, une réaction du même acabit et un échange de coups et de claques entre les deux équipes. Les petits accrochages se sont multipliés par la suite. Pas vraiment top pour l’image du rugby...

Bagarre générale. Il y'a des restes du barrage de juin... #MHRCO

— Team Castres ?? (@TeamCastres) October 8, 2016
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